Besançon (1981)
LE LIVRET DU CONGRESSISTE
? Sous la présidence .................................................................................................................5
? Remerciements .....................................................................................................................7
? Activités du vendredi 6 novembre 1981 .................................................................................9
? Activités du samedi 7 novembre 1981..................................................................................17
? Exposants ............................................................................................................................18
? Activités du dimanche 8 novembre 1981 .............................................................................19
? Activités du lundi 9 novembre 1981 ....................................................................................27
LES PARUTIONS DANS LE BUP
Journées nationales de l?Union des physiciens à Besançon
? Programme .........................................................................................................................37
? Renseignements pratiques ...................................................................................................39
? Résumé des conférences......................................................................................................40
? Liste des ateliers ..................................................................................................................44
? Liste des visites ....................................................................................................................45
? Fiches d?inscription .............................................................................................................47
Comptes-rendus des ateliers
? Atelier n° 1 : enseignement technique .................................................................................53
? Atelier n° 2 : la chimie en terminale ....................................................................................54
? Atelier n° 3 : physique en terminale ....................................................................................56
? Atelier n° 4 : premier cycle .................................................................................................58
? Atelier n° 5 : l?informatique et les sciences physiques ...........................................................60
? Atelier n° 6 : interface enseignement primaire premier cycle ...............................................62
? Atelier n° 7 : bulletin de l?UdP............................................................................................63
? Atelier n° 8 : interface premier - second cycles ....................................................................64
? Atelier n° 9 : formation permanente ...................................................................................67
? Atelier n° 10 : laboratoires...................................................................................................68
UNION DES PHYSICIENS
1
JOURNÉES NATIONALES
placées sous la présidence de
Monsieur le Recteur de l'Académie de Besançon
et de
Monsieur !'Inspecteur Général ODERMATT
6-9
BESANÇON
Novembre 1981
UNIVERSITÉ DE BESANÇON
UER des Sciences Exactes et Naturelles
Campus de la Bouloie
Route de Gray - BESANÇON
Le Comité d'Organisation des Journées Nationales 1981
adresse ses remerciements à tous ceux qui lui ont apporté son
concours.
Il tient à mentionner plus particulièrement :
- Monsieur le Recteur de l'Académie de Besançon
- L'Université de Besançon
- L 'UER des Sciences Exactes et Naturelles
- Le Conseil Général du Doubs
- La Municipalité de Besançon
- La Chambre de Commerce et d'industrie du Doubs
- Le Centre Régional des Oeuvres Universitaires
- L'Association Comtoise du Parc des Expositions et des Congrès
- Le Syndicat d'initiative de Besançon
- La Compagnie des Transports Bisontins
- Messieurs les Conférenciers
- Tous les Organismes publics ou privés qui ont reçu les Congres.
sistes au cours de ces journées
de /'UER des
administratifs
et
techniques
- Tous les personnels
Sciences Exactes et Naturelles qui ont participé au travail d'organisation.
Ce fascicule a été composé et relié par l'imprimerie
de l'Université.
Le programme du Congrès y est présenté journée par
journée et la publicité répartie après chaque journée.
1 Vendredi 6 Novembre
1
Programme
9h-10h
10 h -
Séance d'Ouverture
10 h 30 Compléments et détails techniques concernant l'organisation des journées
10 h 30
Conférence : "La Miniaturisation en optique"
par M. le Professeur BULABOIS, Doyen de la Faculté des Sciences
12 h 30
Repas au Restaurant Universitaire
14 h
- sa place - son avenir"
micromécanique
Conférence : "La
par M. TAILLARD, Maître-Assistant à l'Ecole Nationale Supérieure de mécanique et de microtechniques de Besançon (E.N.S.M.M.B.)
15 h 30
Conférence : "Les microprocesseurs , leurs possibilités et leurs applications"
par M. le Professeur F. LHÔTE, de l'Université de Besançon
et M. ANDRÉ, Maître-Assistant à l'E.N.S.M.M.B.
18 h
Réception des Congressistes à !'Hotel de Ville
Nota : Parmi les compléments concernant l'organisation du congrès, seront précisées les présentations d'expériences et les visites de laboratoires prévues pour le Samedi 7 Novembre.
Résumé des conférences du Vendredi
La miniaturisation
en optique
Pendant plusieurs siècles, les systèmes optiques sont restés quasiment les mêmes malgré
l'amélioration de leurs performances : lentilles, prismes, condenseurs, etc ... Une nouvelle optique
est apparue en 1970, elle a pour finalité de rendre les systèmes optiques compatibles avec les
technologies modernes. Les chercheurs de la Bell Telephone l'on appelée "Optique intégrée" par
analogie avec l'électronique intégrée.
L'intérêt de ces nouvelles technologies en optique est de réaliser des systèmes optiques de
dimensions réduites, d'intégrer plusieurs composants sur un même substrat donc d'envisager des
systèmes complets sur plaquettes enfichables. On s'affranchira ainsi, à l'avenir, des dispositifs
encombrants dont l'alignement précis est sensible aux vibrations, aux gradients thermique et
hygrométrique. L'optique intégrée est également très adaptée à I' optoélectronique, les interactions
électro-optique, acousto-optique et magnéto-optique étant grandement facilitées lorsque les faisceaux lumineux se propagent dans des couches minces, soit en surface, soit dans une structure
multicouches.
à très grands débits d'informations seront de plus en plus
De plus, les télécommunications
assurées au moyen de dispositifs optiques mettant en oeuvre les propriétés de transmission des
fibres optiques et celles des composants de l'optique intégrée ou de systèmes optiques miniaturisés pour les rendre compatibles avec les dimensions géométriques des fibres ; c'est-à-dire des
fibres dont le diamètre est de l'ordre de quelques dizaines de microns voire de quelques microns
dans le cas des fiches monomodes les plus intéressantes.
Micromécanique
: Placeet Avenir
En première approche, on considère que la micromécanique concerne la conception, donc la
fabrication des petits objets qui réalisent des fonctions diverses.
Dans une analyse plus précise des objectifs fonctionnels des objets techniques, on observe un
perpétuel accroissement des exigences. Cela conduit à la recherche de maillons fonctionnels les
mieux adaptés, donc issus des horizons les plus divers.
La place de la micromécanique apparait essentiellement dans les chaines "courtes",
les divers
actionneurs et capteurs d'un objet technique (tête d'impression d'une imprimante rapide, microactionneurs hydrauliques de prothèses, servovalves ... ).
- Le composant micromécanique réalise une ou des actions bien spécifiques d'un ensemble
complexe et donc, à ce titre, doit respecter toutes les contraintes d'interfaçage avec l'environnement immédiat.
- Il en résulte des exigences nouvelles :
le comportement des organes micromécaniques doit être davantage déterministe (actionneurs
de robots commandés en "bandes ouvertes" par programme).
Cela impose au concepteur une recherche dans la connaissance plus exacte des modèles de
comportement, donc de tous les divers éléments physiques qui interviennent dans la descriptiorl.
: possibilités
et applications
Lesmicroprocesseurs
Par la puissance de calcul qu'ils possèdent - comparable en moyenne à celle d'un miniordinateur - concentrée dans un volume réduit et pour un prix allant de quelques dizaines de francs
pour les plus simples à 1 500 francs pour les plus puissants (dont les capacités de calcul égalent
celle d'un ordinateur IBM 360/70), les microprocesseurs permettent la réalisation d'un grand nombre de dispositifs exigeant des traitements d'informations et/ou des calculs complexes.
Une application exemplaire est la commande des actionneurs d'un manipulateur articulé
d'assistance aux handicapés moteurs, commande qui exige la résolution à grande vitesse d'équations non linéaires des sinus et cosinus des angles de rotation des articulations. L'exécution de ces
calculs par un (ou plusieurs, compte tenu de leur prix) microprocesseur(s), à la place d'un minaordinateur encombrant et onéreux, confère au manipulateur une mobilité et un prix de revient compatible avec sa finalité.
PIERRON
103, rue Foch
La plus importante
fabrique de matériel pédagogique
5 7 206 Sarreguemines
française
Pendule tournant
Réf. MT 2049
Pendule pesant
avec enregistreur papier
Réf. MT 4390
MT 13163
Ondoscope PIERRON
Réf. MT 4365
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Coffret expérimental pour l'étude
du treuil à énergie solaire
Réf. MT 4519
Banc d'étude expérimental pour véhicule à énergie solaire
Réf. MT 4520
Montage à réaliser pour le relevé des caractéristiques
Montage à réaliser pour le relevé des caractéristiques
:::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::
Miroir tournant PIERRON
Réf. MT 3005
.--------------------------Générateur d'ondes centimétriques PIERRON
Réf. MT 2712
A l'occasion des Journées Nationales des Physiciens à Besançon
PIERRON
présente entre autres, les équipements suivants en fonctionnement
?
?
?
?
?
un
un
un
un
un
véhicule solaire, monté sur rail
treuil à énergie solaire
groupe de distillateurs solaires à balayage
banc à micro-ondes
pendule pesant avec enregistrement
? un pendule tournant
? une calculatrice programmable
géants
etc ....
à afficheurs
Collection CHIROUZE-LACOURT
sciences
physiques
?
UN COURS COMPLET
DE LA 6e A LA 3e
par J. LACOURT, P.J. CHI ROUZE, M. BERENGER
et R. VENTO
? Une présentationtrès claire
Une illustration abondanteet en couleurs
? Des exercicesnombreux et variés
Une ouverture vers la vie réelle et l'industrie
?
?
Compte tenu du mainti(;n d'un
programme identique et du succès de
l'ancien manuel auprès des professeurs,
cette nouvelle édition 1981 est totalement
compatible avec l'ancienne à l'intérieur
d'une même classe.
Ce qu'il y a de nouveau :
- des exercices complémentaires plus
variés et plus gradués en difficulté et des
questions d'auto-contrôle «suis-je capable
de ... », qui sont introduits dans le corps
de l'ouvrage dont la pagination ,:-estela
même.
- une riche et importante documentation
photographique en couleurs, présentée
sur 1? pages et foliotée en chiffres
romains.
Cette illustration constitue une réelle
introduction pédagpgique à chacune des
grandes orientations du programme
(électricité, chimie, physique).
Sélectionnées pour leur qualité, ces
photographies de grandes dimensions
sont de véritables reportages, à exploiter
en classe pour éveiller la sensibilite des
élèves et les amener à poser de multiples
questions.
Cette nouvelle édition fait donc la
synthèse de la méthode expérimentale,
d'une part, et du questionnement à
partir de documents d'autre part.
Déjà parus:
Manuel - Cahier de laboratoire et corrigé - Livre du professeur
Manuel - Fichier de laboratoire - Livre du professeur - Réseauet filtres colorés Diapositives
Manuel - Livre du professeur
ARMANDCOLIN
Collection LACOURT
PHYSIQUE28
CHIMIE28
P. BOTTARO, L. ROUZAUD et J. LACOURT
R. DIDIER et R. VENTO
?Deux manuels conçus pour l'ensemble des classes
de 2e, écrits dans un style simple et présentant les
notions essentielles accessiblesà tous. Mais pour les
classesdéjà orientées vers le «scientifique», ils
proposent des thèmes d'approfondissement et des
exercices plus poussés.
?une pédagogie identique dans les deux volumes :
l'approche expérimentale
?un recours permanent à l'esprit d'observation des
élèves
?Une grande clarté graphique, avec de très nombreux schémas (plus de 500 en physique)
?
et une illustration abondante et efficace
?Des exercices et problèmes répartis dans tous les chapitres
DEJA PARUS
TerminalesC et E
PHYSIQUE
Terminale D
PHYSIQUE
PHYSIQUES
LESSCIENCES
1reAB
AUJOURD'HUI
Deux manuels et un livre du professeur commun
Livre de l'élève et livre.du professeur
1reC,D et E
PHYSIQUE
CHIMIETerminalesC,0, E
Livre de l'élève, livre du professeur
et fiches de recherches et documents
M?nuel et livre du professeur
CHIMIE1reC, D et E
Livre de l'élève et livre du professeur
Sous la direction de C. JOUBERT
EPHYSIQUE
LA
COMPRENDR
PARLESPROBLEMES
C. JOUBERT, M. LEVE LUT, P. MAILLOT et M. MENARD
Un ouvrage original
? pour faire acquérir à l'élève le «sensphysique»,
? pour attirer son attention sur les points importants ou délicats des
programmes de terminales,
? une méthode fondée sur des problèmes et mettant l'accent sur les
acquisitions pratiques,
? de très nombreux exercices et problèmes gradués en difficulté et
répertoriés
par section
: C, D ou E
ARMANDCOLIN
iëlC11p
Jules Richard
&Pékly
multimètrMultipréci
e
MN5102
* sécurité d'utilisation : protections et bornes de sécurité* autonomie : > 1 500 h *
* complet : 28 calibres et fonctions (V, 1, n) * facilité d'emploi : 1 seul commutateur*
* calibre supplémentaire V~ basse impédance - spécial électriciens*
* précision : 0, 1 % * entrée directe 10 A*
caractéristiques générales
Précision :
Appareil de poche autonome, affichage à cristaux liquides
(hauteur 13 mm).
Calibres 200 mV, 2 V, 200 V :
de 25 Hz à 1 kHz : ± (0,5 % lecture+
2 000 points de mesure (3 1/2 digits).
28 calibres : 100 µV (résolution) à 1 000 V-et 750 V~.
1 µA (résolution) à 10 A - et~
0, 1 n (résolution) à 20 MQ
Positions spéciales «test diode» et 200 V~ basse impédance
(spécial électriciens) permettant de s'affranchir des tensions
parasites.
Bornes et cordons de sécurité et fusible haut pouvoir de
coupure.
Un seul commutateur (court-circuitant).
Température de fonctionnement : 0°C à + 50°C.
Température de stockage : - 30°C à + 60°C.
Tension maximum en mode commun : 650 V continu ou
alternatif crête.
Alimentation : 1 pile standard 9 V (6 LF 22).
Durée de vie de la pile :
1 500 heures.
Indicateur d'usure de la pile.
>
Humidité relative :
- 0 à 90 % H R de O à 40° C.
- 0 à 70 % H R de 40 à 50° C.
Coefficient de température par °C : < 10 % de la précision.
Dimensions : 87 x 186 x 41 mm.
Masse : 370 g.
Fréquence de mesure : 2,5 mesures/seconde.
tension continue
Calibres: 200 mV, 2 V, 20 V, 200 V, 1 000 V.
Résolution: 100 µV sur calibre 200 mV.
Précision:± (0,1 % lecture+ 1 u).
Impédance d'entrée: 10 Mn.
Réjection de mode série : ;;,, 70 dB à 50 et 60 Hz.
Réjection de mode commun :;;,, 130 dB en continu, 50 Hz
et 60 Hz.
2 u).
Bande passante à ± 0,5 dB : 20 Hz à 10 kHz sauf sur calibres
200 V et 750 V.
1mpédance d'entrée : 10 MQ //Ce<
Protection contre les surtensions :
75 pF.
Calibre 200 mV : 380 V eff. ou 400 V-.
Autres calibres: 1 100 V- ou crête alternatif.
Calibre spécial 200 V~ : impédance 100 kQ, précision 5 %.
courants continu et a11érnatif
Calibres : 2, 20, 200 mA, 2 et 10 A.
Résolution : 1 µA sur calibre 2 rnA.
Précision :
? en continu : calibres 2 rnA à 2 A : ± (0,25 % lecture+ 1 u)
calibre 10 A:± (0,5 % lecture+ 1 u).
? en alternatif :
- de 30 Hz à 1 kHz (excepté 10 A) : ± (0.5 % lecture+ 2 u)
- de 20 Hz à 400 Hz (calibre 10 A) : ± (1 % lecture+ 2 u).
Protection contre les surcharges :
Entrée A : par fusible rapide 2 A/250 V (possibilité de mettre
un fusible 2 A/380 V~ non fourni par nos soins).
Entrée 10 A : non protégée, supporte 20 A pendant 30 s.
résistance
Calibres : 200 n, 2, 20, 200 kn, 2, 20 MD.
Q)
Résolution : 0,1 n sur le calibre 200 n.
Précision :
Calibre 200 n : ±(0,2 % lecture + 2 u)
Calibres 2 kn, 20 kSG,200 kn : ± (0,2 % lecture + 1 u).
Calibre 2 Mn :±(0,5 % lecture+ 1 u).
Calibre 20 Mn : ±(1 % lecture+ 1 u).
Tension maximum en circuit ouvert : < 1 V (sauf calibre
200 Q <3 V).
Tension maximum en circuit : 0,4 V.
Courant maximum : 2 mA.
Protection contre les surcharges : 250 V eff.
<
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Protection contre les surtensions :
Calibre 200 mV =>380 V eff.
..
Autres calibres =>1 100 V - ou crête alternatif.
tensionalternative
Calibres: 200 mV, 2, 20,200,750 V efficaces.
Calibre spécial 200 V,~ basseimpédance.
Résolution : 100 µV sur calibre 200 mV.
«Le Fabricant se réserve le droit de modifier
2 u).
Calibre 750 V : de 25 Hz à 1 kHz : ± (1 % lecture+
test diode
Q)
'O
~
Calibre: 2 V.
Résolution : 1 mV.
Précision:± (0,1 % lecture+ 2 u).
Courant de test : 1,6 mA.
Protection contre les surcharges : 250 V eff.
~
>
~
0
~
·;;
E
,.,
C.
accessoires
0
0
Cordons de sécurité (livrés avec l'appareil), sacoche de transport (AN 5807), pince ampéremétrique 1/1 000 (PTR 1) et
1/100, sonde H.T. (1 600 HV).
les caractéristiques énoncées dans la mesure où les conditions
technologiques
l'y amèneraient.»
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...
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: Septembre 19&1
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1, Bd Hippolyte Marquès - B.P. 30i - 75624 Paris Cedex 13
ii
N 205 - Édition
SERVICES COMMERCIAUX:
Téléphone : ( 1) 670.11.78 - Télex : 204 771 AOIP ~~
1 Samedi 7 Novembre
1
Programme
9h-12h
- Ateliers pédagogiques
1-3-6-8-10
- Exposition de matériel et de livres
- Présentation d'expériences et visites de laboratoires
Repas au Restaurant d'Entreprises
12 h 30
14 h -
17 h 50
- Ateliers pédagogiques 2-4-5-7-9
- Exposition de matériel et de livres
- Présentation d'expérience et visites de laboratoires
Le Comité d'Organisation est heureux d'offrir aux congressistes un concert
exécuté à leur intention par le Trio d' ANCHES de Besançon.
Ce concert aura lieu au Musée des Beaux Arts et un service d'autobus assurera le transport de la Bouloie au Musée.
18 h 30
En voici le programme :
Le trio d'Anchesde Besançon
J. COSTARINI
P. BOURIEZ
C. PEIGNIER
Interprétera
Trio de Londres
Trois figures
Divermento n ° 2
La Cidarem la Mano
Cinq pièces en trio
Hautbois
Basson
Clarinette
J. HAYDN
J.S. BACH
W.A. MOZART
L.V. BEETHOVEN
J. IBERT
Liste des Ateliers
Les salles affectées aux ateliers sont localisées dans le bâtiment de premier cycle.
Matinée:
Atelier
Atelier
Atelier
Atelier
( 1)
(3)
(6)
(8)
:
:
:
:
Après-midi
Atelier
Atelier
Atelier
Atelier
Atelier
;
(2)
(4)
(5)
(7)
(9)
:
:
:
:
:
Enseignement technique
Physique en terminale
Interface entre enseignement primaire et premier cycle
Interface entre premier et second cycle.
Incidences sur la seconde commune.
Atelier ( 10) : Problèmes des laboratoires de sciences physiques.
Chimie en terminale
Premier cycle
L'informatique et les sciences physiques
Bulletin de l'U.d.P.
Formation permanente.
1EXPOSANTS
1
MATÉRIEL D'ENSEIGNEMENT
A.0.1.P. mesures
1 , Bld Hippolyte Marquès - 7501 3 Paris
Ateliers Genetier
7, rue Guy de la Brosse - 75005
Etablissements du
Docteur Auzoux
9, rue de l'Ecole de Médecine - 75006
Etablissements
Ranchet
Paris
Paris
71 , rue d'Alsace - 691 00 Villeurbanne
Le Havre
Gerpi
5, rue Lesueur - 76600
Jeulin
21 n° 2 - 28, rue Lavoisier,
2 7031 Evreux Cedex
Leybold - Heraeus Sogel
Avenue de l'Atlantique - ZA de Courtaboeuf Les Ulis -- B.P. 42 - 91401 Orsay Cedex
Pierron
57206
Matelco
3, rue des Bois - 59160
Metrix
Chemin de la Croix-Rouge
F 74010 Annecy Cedex
Tacussel
Représentant régional: J. CHOFFEL
B.P. 58 - 88200 Remiremont
Armand Colin
Editeur - 103, Bld Saint-Michel - PARIS Ve
Bordas
1 7, rue Rémy Dumoncel
Cedex 14
Cedic
93, Avenue d'Italie - 75013
Etudes Vivantes
1 9-21 , rue de l'ancienne comédie 75006 Paris
Hachette
79, Bld Saint-Germain 75288 Paris Cedex 06
B.P. 3110
-
Sarreguemines Cedex
Lomme
- B.P. 30
-
EDITIONS
- 7 5 6 8 6 Paris
Paris
Librairie Classique
Eugène Belin
8, rue Férou - 75278
Librairie A. Hatier
8, rue d'Assas - 75278
Librairie lstra
93, rue Jeanne d'Arc - 75013
Librairie Fernand Nathan
9, rue Méchain - 75676
Librairie Vuibert
63, Bld Saint-Germain - 75005
Mc. Graw-Hill
28, rue Beaunier - 75014
Paris Cedex 06
Paris Cedex 06
Paris
Paris Cedex 14
Paris
Paris
1 Dimanche 8 Novembre 1
Programme
9h-12h
le thème : "L'enseignement
Matinée réservée à l'Inspection générale s1,.1r
sciences physiques dans les lycées techniques".
des
Repas au restaurant universitaire
1 2 h 30
14 h - 1 8 h 30 Compte-rendu des ateliers.
Assemblée générale.
19 h
Départ par cars du Campus de la Bouloie pour la "Foire Comtoise" où aura
lieu le banquet.
Entretiens pédagogiques
Centrer sur l'enseignement des Sciences Physiques dans les lycées techniques.
dansles sectionsF desLycéestechniques
desSciencesPhysiques
L'Enseignement
GénéralODERMATT
par Monsieur!'Inspecteur
Le passage d'un enfant de l'enseignement classique à l'enseignement technique peut s'effectuer à plusieurs étapes de sa scolarité : à l'isue de la classe de cinquième, de la classe de troisième
ou de la classe terminale.
Les enfants issus de la classe de cinquième ou de la classe de troisième peuvent être accueillis
dans un lycée d'enseignement professionnel ou L.E.P. (naguère collège d'enseignement technique,
autrefois centre d'apprentissage). Les élèves entrant dans un L.E.P. en classe de quatrième y préparent un certificat d'aptitude professionnelle ou C.A.P. en trois ans. Cette formation conduit les
jeunes à un métier ou un poste déterminé. Il existait quatre cent vingt deux C.A. P. différents au 31
mai 1980. En fin de classe de troisième des collèges, les élèves admis en L.E.P. y préparent en
deux ans un brevet d'enseignement professionnel (B.E.P.). Les B.E.P. sanctionnent une formation
de professionnels qualifiés pour un ensemble d'activités relevant d'un même secteur professionnel,
industriel, commercial, administratif ou social. Il existe néanmoins, par le jeu d'options et de mentions complémentaires, près d'une centaine de B.E.P. différents tel, par exemple, le B.E.P. conducteurs d'appareils de l'industrie chimique avec ses trois options : industrie, traitement et épuration
des eaux, industrie pharmaceutique.
Les lycées techniques et les lycées polyvalents accueillent également nos élèves à l'issue de la
classe de troisième et leur dispensent un enseignement technique de niveau plus élevé que les
L.E.P. Dès la classe de seconde, les élàves des lycées techniques ou polyvalents se voient offrir, en
plus de l'enseignement scientifique commun à l'ensemble des classes de seconde (2h + 1,5h), un
enseignement optionnel de 11 heures (dont 2h + 7h de sciences physiques dans le cas de l'option
"sciences et technologie de laboratoires"). Selon l'option choisie, les élèves peuvent ensuite être
admis en section E (identique à la section C du point de vue de l'enseignement scientifique), en sections F ou H préparant aux divers baccalauréats de techniciens ( F 1 à F 1 2) ou en sections préparatoires aux différents brevets de techniciens (7 3 spécialités différentes au 31 mai 1980).
L'enseignement scientifique dans les sections F et H est un enseignement plus spécialisé que
celui qui est dispensé en sections Cou E. En effet, nous tenons à conserver la "double finalité" de
l'enseignement dans les sections F et H afin de permettre, d'une part, aux meilleurs élèves de continuer leurs études après la classe terminale s'ils en ont le goût et le talent et, d'autre part, d'entrer
directement dans la vie active si tel est leur souhait. Comme I' oreintation vers ces sections ne
s'effectue pas encore selon des critères très positifs et comme nous devons mener à bien une formation technique efficace complète à l'issue de la classe terminale, nous sommes amenés à restreindre l'étendue du domaine de la compétence technique (d'où le nombre de sections différentes)
tout en accordant à la formation scientifique l'étendue maximale compatible avec les objectifs
fixés. Nous sommes également conduits à mettre en oeuvre, dans ces sections, des méthodes
pédagogiques particulièrement adaptées et efficaces. Nous privilégions le contact avec la réalité
concrète, la méthode inductive fondée sur l'expérience, suscitant ainsi progressivement l'intérêt
puis le goût pour l'étude plus théorique et l'abstraction fondés sur l'étude préalable des réalités
technologiques. Ces dernières sont le plus souvent présentées par les professeurs de technologie
qui travaillent en étroite collaboration avec leurs collègues scientifiques. Ainsi, nous préparons nos
élèves non seulement à appréhender la technologie dans son état d'évolution actuel, mais nous
assurons également leur adaptation à l'évolution certaine (prévisible ou non) du domaine technologique de leur spécialité.
Les débouchés offerts par les sections E et F, au sein d'établissements de l'éducation nationale
sont très variés. Les élèves des sections E peuvent continuer leurs études dans les classes préparatoires aux grandes écoles classiques (M, M', P, P') ou en spéciales T (préparant l'admission aux
écoles d' Arts et Métiers) ou en spéciales T' (deux classes en France permettant d'accéder par un
concours unique à la plupart des grandes écoles). Les élèves des sections F peuvent également,
depuis quelques années continuer leurs études dans des classes préparatoires aux grandes écoles
du type TA (15 divisions), TB (1 division) ou TB' (3 divisions) selon l'option F considérée. Tous les
bacheliers E, F et H peuvent continuer leurs études générales, soit en entrant dans un 1.U. T. Ils peuvent également préparer un brevet de technicien supérieur dans un lycée technique. Les jeunes
gens titulaires d'un brevet de technicien peuvent également préparer ensuite un brevet de technicien supérieur. L'orientation des élèves qui se sont engagés dans· les filières E, F ou H reste donc
très ouverte. Il en est de même pour les élèves qui ont été orientés très tôt vers un L.E.P. Ces derniers puvent, après obtention d'un C.A.P. et passage dans une classe de seconde spéciale, accéder
à une classe de première F. De même, à l'issue d'un B.E.P., ils peuvent accéder à une classe terminale F après une année d'étude en classe de première d'adaptation.
Les programmes des multiples sections de l'enseignement technique sont, du fait de leur nombre, moins souvent renouvelés que ceux des sections d'enseignement général ; or, paradoxalement, ces programmes devraient subir des mutations fréquentes afin d'accompagner l'évolution
technologique. C'est pourquoi les programmes des sections techniques et les commentaires associés sont, en général, moins précis que ceux de l'enseignement classique afin de ne pas figer cesprogrammes en les rendant, de plus, trop rapidement désuets. Ceci entraîne, pour les professeurs,
un certain inconfort pédagogique relatif mais aussi une attitude de recherche et d'adaptation pédagogiques permanentes qui se sont traduites, ces dernières années, par une participation très active
des professeurs de l'enseignement technique à la mise en place des nouveaux programmes (dans
leur classe, au sein des groupes de réflexion ou en tant qu'animateurs). Je tiens ici à leur rendre
hommage.
L'enseignement des sciences physiques dans les lycées techniques est à l'ordre du jour de la
matinée du dimanche 8 novembre des journées organisées par l'Union des Physiciens à Besançon.
Monsieur MOREAU et Monseiur PRUNET, Inspecteurs pédagogiques régionaux se proposent de
présenter quelques problèmes liés à l'enseignement de l'électricité et de la chimie dans les établissements techniques.
Interventionde Monsieurl'lnspecteurPédagogique
régionalR. MOREAU
L'Enseignement
de l'Electricitédansles sectionsF
Enseigner la Physique dans les sections F, c'est donner aux enfants les moyens de comprendre
le monde technique de demain (objectif valable pour toutes les classes où nous intervenons) ; c'est
aussi, dans la mesure du possible, expliquer celui d'aujourd'hui.
L'exposé sera bâti autour de quelques exemples :
A. En classe de Première :
1. Modèle de Thévenin. Intérêt et Généralité. Application aux circuits logiques.
2. Charge et décharge d'un condensateur : applications diverses de ce phénomène simple : génération de signaux, protection de thyristors et de transistors de puissance.
3. Loi de l'induction : application aux hacheurs. A travers plusieurs types de commande, on montrera la primauté du phénomène physique de base.
B. En classe de Terminale
L'enseignement y est plus spécialisé, mais en dégageant mieux les fonctions qui sont mises en
oeuvre dans les dispositifs étudiés, nous nous proposons de développer l'adaptabilité de nos élèves
aux technologies futures.
1. L'étude de la machine à courant continu doit préparer la compréhension de l'organisation des
machines nouvelles, telle que la machine synchrone auto-pilotée.
2. La présentation et l'exploitation de la fonction retard : f(t) __..f(t-cp) préparera peut-être au filtrage numérique.
RégionalPRUNET
Pédagogique
Interventionde Monsieurl'lnspecteur
Quelques données et réflexions sur l'enseignement dispensé
dans les lycées en vue de la formation de techniciens dans le
domaine de la chimie.
Structure des études et situation de cet enseignement
Des différentes spécialités professionnelles relevant des métiers de la chimie, nous retenons
les trois suivantes :
- voie conduisant au BEP conducteur d'appareils de l'industrie chimique
- voie conduisant au baccalauréat chimie (F5)
- voie conduisant au brevet de technicien supérieur chimiste
et nous limiterons l'essentiel de l'exposé aux deux dernières.
But de l'enseignement
Le but avoué, solide formation scientifique et important acquis technologique, est difficile à
atteindre parce que le baccalauréat, aussi bien que le BTS, doit à la fois constituer une fin en soi
- début d'une activité professionnelle - et une ouverture vers les études supérieures. Les exigences
étant assez divergentes selon le débouché que l'on envisage, on ne peut trouver qu'un compromis.
S'ajoute à ces difficultés une certaine faiblesse qualitative ddu recrutement.
Contenu des programmes
D'un très bon niveau en chimie - mais résolument tourné vers l'analyse et la synthèse
organique - le programme reste tributaire des finalités de ces sections. En particulier en physique il
cherche simplement à définir et étudier l'aspect externe des phénomènes et composants, pour
comprendre le principe de fonctionnement des appareils de mesure ou d'opérations chmiques.
Les démarches pédagogiques
Les disciplines plus spécialement professionnelles sont étroitement imbriquées avec les disciplines dites générales, à tel point que, dans bien des cas, ce sont des professeurs de sciences
physiques qui les enseignent. Il s'agit de la technologie chimiques, de la documentation scientifique et du demi-grand.
L'ambition du programme et la faiblesse du niveau des élèves incitent à adopter des démarches
particulières :
- L'interconnexion des disciplines, qui permet la construction progressive mais simultanée de toutes les faces, aussi bien théoriques qu'appliquées, d'un édifice de connaissances.
Le raccourci pédagogique, qui consiste à ne pas avoir peur de sauter par dessus certains raisonnements ou démonstrations pour arriver plus vite au résultat ou de laisser fermées provisoirement certaines parties d'installations ou d'appareillages.
- L'incitation des élèves à une grande autonomie, essentiellement par le biais des travaux pratiques, où une latitude de plus en plus importante au cours de la formation leur est laissée.
- Une certaine liberté des professeurs pour décider, à l'intérieur d'un programme relativement
ouvert, du contenu détaillé de celui-ci.
Dans ces conditions, et malgré les difficultés liées en particulier à l'absence presque totale
d'ouvrages scolaires pour ces sections, la formation des techniciens en chimie semble satisfaisante.
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1 Lundi 9 Novembre
1
Programme
Matinée:
8 h 30 Conférence : "Progrès techniques et miniaturisation en pratiques médicale et chirurgicale"
par M. Le Professeur J. ROYER, Service d'Ophtalmologie du C.H.U. de Besançon.
10 h
Conférence : "Utilisation des microtechniques en astrophysique"
par M. le Professeur G. MOREELS, de l'Université de Besançon
12 h
Repas au restaurant universitaire
(possibilité de repas froids).
Après midi consacré aux visites
17 h 15
Réception des congrésistes
par M. le Recteur de Besançon.
Résumé des conférences
Progréstechniques
et miniaturisation
en pratiquemédicaleet chirurgicale
L'itinéraire de la connaissance et de la pratique en médecine est jalonné au cours des siècles
par l'invention puis la pratique d'instrumentations
particulièrement adaptées aux problèmes à
résoudre. On peut y retrouver à la fois le niveau même de la connaissance scientifique des praticiens, le progrès des techniques et les exigences croissantes des méthodes de mesure.
Le matériel chirurgical et de diagnostic n'échappe pas à cette constante : il correspond, avec
un certain retard, au progrès technologique de l'époque et crée par son emploi même les besoins
d'une méthodologie, d'un mode de raisonnement, d'une connaissance pour tout dire en perpétuel
mouvement.
Nous prendrons pour exemple la technique micro-chirurgicale et la mini-instrumentation
utilisées dans les domaines de la pathologie des yeux chez l'homme. La miniaturisation des procédés
de chirurgie ne cesse de s'accentuer en même temps que se développent l'emploi du laser en pratique courante et l'élaboration des méthodes d'examen clinique allant sans préparation particulière à
l'étude des couches cellulaires de la cornée vivante.
Utilisationdesmicrotechniques
en Astrophysique
La majeure partie des données expérimentales utilisées en Astrophysique provient de la détection et de l'analyse du rayonnement émis par les divers objets qui peuplent l'Univers. On constate
que les progrès majeurs en instrumentation ont souvent été associés à des applications astronomiques spectaculaires des systèmes à technologie avancée : radiotélescopes, télescopes optiques
puissants, observatoires spatiaux. Or, dans les décades qui viennent de s'écouler, technologie évoluée a souvent été synonyme de miniaturisation.
Considérons tout d'abord le cas des détecteurs : des progrès énormes ont été faits depuis la
mise au point des photo-multiplicateurs,
qui sont la version industrialisée de la caméra électronique
des Astrophysiciens. Ces détecteurs ne sont pas plus encombrants qu'une triode ou une pentode
classiques. Ils permettent de mesurer des niveaux d'éclairement suffisamment faibles pour dénombrer les photons. Depuis quelques années., nous assistons à un développement très important des
détecteurs à substrat en silicium du type mosaïque de photodiodes. Ces détecteurs utilisent la
technologie des mémoires à semi-conducteur du type RAM ou ROM (resp. : mémoire à accès aléatoire et mémoire de lecture). Certains d'entre eux présentent jusqu'à 250 000 éléments sensibles
sur une surface de l'ordre de 1 cm 2 ? Des fabricants équipent déjà des caméras petit format avec
ces détecteurs.
Dans le domaine du traitement du signal, les progès majeurs obtenus ces dernières années ont
été liés à l'apparition des mini-ordinateurs et des microprocesseurs.
De plus, les capacités de
mémoire de ces outils et leur facilité d'utilisation étendent énormément le domaine possible
d'investigation.
Là où l'astronome pensait en terme de plaque photographique, vignettage et taille
du grain, l'astrophysicien agit à l'aide d'une matrice de photo-diodes, d'une mémoire transportable
et d'un microprocesseur. On peut se damander où se trouve la différence sensible ? Elle se situe au
niveau de l'accès au "temps réel" : diminution des temps de pose, possibilité de transmettre les
images par voie radio, accès à des programmes d'observation automatisés.
Quelques exemples concernant deux expériences astronomiques spatiales en cours de réalisation à l'Observatoire de Besançon permettront de présenter des sous-systèmes à technologie avancée faisant appel à des microtechniques .
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.
Liste des visites
A) Besançon - Ville d'art et d'histoire
D) Etablissements
Maty : Automatisation
E) Centre technique de !'Horlogerie
d'un centre de vent - Joaillerie.
(C.E.T.E.H.O.R.)
F) Etablissements Stanley-Mabo.
Fabrication d'instruments de mesure linéaire.
G) Laboratoire propre du C.N.R.S. (L.P.M.O.)
Métrologie des oscillateurs.
H) Laboratoire d' Astronomie
et de Physique spatiale de l'Université
de Besançon.
1) Usines Peugeot - Sochaux
J) Usines Solvay - Tavaux
K) Etablissements Oerlikon - Ornans.
Fabrication de matériel de traction de grande puissance (S.N.C.F. - R.A.T.P. - etc ... )
L) Les "Reculées du Jura" et Arbois
N) Etablissements
Sormel : Robotique.
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1mplantations
Centre de Production de Sochaux : 233 ha, dont 123 ha de surface développée de bâtiments.
Usine de Bart, située à 7 km de Sochaux : 10,5 ha dont 4,8 ha bâtis.
Centre d'Essais de Belchamp : situé dans un domaine forestier de 400 ha, à
quelques kilomètres de Sochaux ; il comporte 30 000 m 2 de surfaces couvertes et un vaste ensemble de pistes d'essai et d'endurance.
Usine de Vesoul : 110 ha, dont 40,6 ha bâtis.
Centre Informatique de Bessoncourt : 3 000m
terrain d'une surface totale de 4 ha environ.
2
de bureaux et ateliers sur un
Fabrications
Le Centre de Production de Sochaux usine et monte les moteurs essence, et
assemble les 305 - 504 - 505 - 604. (Celui de Mulhouse assemble les 104 et
?
305 breaks).
L'Usine de Bart fabrique les amortisseurs et les faisceaux électriques.
L'Usine de Vesoul fait des pièces de garniture, de mécanique et de tôlerie,
mais surtout gère le centre d'expédition des éléments détachés pour les usines de montage à l'étranger, ainsi que les magasins de pièces de rechange
PEUGEOT.
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ouvrables. Le rendez-vous a lieu à 8h30 au Bungalow du Stade Banal et la
visite dure environ trois heures (âge minimum : 13 ans).
Pour les groupes de plus de dix personnes, une autorisation spéciale doit être
sollicitée par lettre adressée à la Direction des Relations Extérieures du Centre, environ un mois avant la date prévue pour la visite.
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sciences physiques en liaison avec la compréhension de ces sciences ».
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W'
Photo couverture : La Porte Teillée,
d'après une esiampa de la BlbliothèQue Municipale.
BULLETIN
Journées
BESANÇON
DE L'UNION
1441
DES PHYSICIENS
nationales
de l?Union
des Physiciens
: 6 -
7 - 8 et 9 novembre
1981
Les journées
se dérouleront
dans les locaux de l?U.E.R.
des
sciences exactes et naturelles
de l?Université
de Besançon - FrancheComté. Ces locaux sont situés sur le campus de « La Boulois » à
environ 5 km du centre ville.
-
Elles seront présidées par :
M. le Recteur de l?Académie
de Besançon,
et
M. ODERMATT,
Inspecteur
général.
PROGRAMME
Jeudi
5 novembre
1981 :
Un service d?accueil
sera organisé
en gare de Besançon de 16 h 30 à 23 h 30.
Vendredi
6 novembre
1981 :
9h
Ouverture
du Congrès par M. le Recteur de l?académie de Besançon.
10 h 30
12 h 30
14 h
Conférence
:
« La miniaturisation
par M. le Professeur
des Sciences.
Repas au restaurant
optique
»,
BULABOIS,
Doyen
de la Faculté
universitaire.
Conférence
:
« La micromécanique
- sa place - son avenir »,
par M. TAILLARD,
Maître-Assistant
à 1?Ecole nationale
supérieure
de mécanique
et de microtechniques
de
Besançon
(E.N.S.M.M.B.).
15 h 30 Conférence
:
« Les microprocesseurs,
leurs possibilités
et leurs
applications
»,
par M. le Professeur
F. LuôTE, de l?Université
de
Besançon,
et M. ANDRÉ, Maître-Assistant
à 1?E.N.S.M.M.B.
1442
BULLETIN
DES PHYSICIENS
Réception des congressistes
- en partie à l?Hôtel-de-Ville,
- en partie au Rectorat.
18 h
Samedi
DE L'UNION
7 novembre
:
1981 :
Matinée
9 h - 12 h :
- Ateliers pédagogiques
(5).
- Exposition
de matériel
et de livres.
Repas : Restaurant
d?entreprises.
Après-midi
14 h - 17 h 30 :
- Ateliers pésdagogiques
(5).
- Exposition
de matériel
et de livres.
des présentations
Nota : Au cours de la journée,
d?expériences
et des visites de laboratoires
sont prévues à la Faculté des Sciences et à l?E.N.S.M.M.
Dimanche
8 novembre
1981 :
9 h- 12 h : Matinée
réservée à 1?Inspection
générale
sur le
thème
: L?enseignement
des sciences
physiques
dans les lycées techniques.
12 h 30
Repas
au restaurant
14 h- 18 h 30 : Compte rendu
Assemblée générale.
19 h
Lundi
universitaire.
des ateliers.
Départ, par cars, du Campus de la Bouloie
la « Foire Comtoise » où aura lieu le banquet.
9 novembre
1981 :
8 h 30 Conférence
:
« Progrès techniques
et miniaturisation
médicale
et chirurgicale
»,
par M. le Professeur
3. ROYER,
Service
logie du C.H.U. de Besançon.
10 h
12 h
Conférence
:
« Utilisation
des microtechniques
par M. le Professeur
G. MOREELS,
Besançon.
Repas au restaurant
universitaire
repas froids).
Après-midi
consacré aux visites.
pour
en pratiques
d?ophtalmo-
en astrophysique
de l?Université
(possibilité
»,
de
de
BULLETIN
DE
L?UNION
Renseignements
DES
PHYSICIENS
1443
pratiques
1) Le centre-ville,
situé dans une boucle du Doubs, la gare,
et le Campus de la Bouloie sont assez éloignés les uns des autres.
Le Campus est situé à environ 5 km du centre-ville
dans la direction de Gray-Chaumont.
Les hôtels sont très dispersés
(le service chargé de l?organisation
de l?hébergement
enverra à chaque
congressiste
un plan de la ville où sera coché l?hôtel
où une
chambre lui est réservée).
- Des bus spéciaux assureront,
chaque matin, le transport
des participants
de certains
points de la ville au Campus (ces
points de ramassage seront définis ultérieurement).
A l?issue des
activités de l?après-midi,
des bus spéciaux conduiront
les congressistes, soit à proximité
de leur hotel, soit au centre-ville
(récep
tion à l?hôtel-de-ville
et au rectorat),
soit au lieu où aura lieu
le banquet. Un plan du réseau de la Régie des Transports
bisontins sera par ailleurs
fourni aux congressistes.
2) Les repas de midi ont lieu soit au Restaurant
universitaire (vendredi
- dimanche
et lundi), soit au Restaurant
interentreprises
localisé au voisinage
du Campus (samedi).
- Voir à ce sujet la fiche no 1.
- Il sera possible d?envisager,
pour les congressistes
qui le
désireront,
de prendre
le repas du vendredi
soir au Restaurant
universitaire
(se faire inscrire
dès l?ouverture
du Congres).
3) Les visites auront
lieu le lundi
après-midi.
La plupart
d?entre
elles concernent
Besançon
ou sa banlieue
et devront
permettre
aux congressistes
qui y participeront
d?être en gare
vers 18 h 15. Mais pour certains, le retour en gare ne peut être
garanti avant 19 h. Vous trouverez
sous la rubrique
« Visites »
des éléments (horaires
des trains, etc.) permettant
de fixer votre
choix.
4) Pour s?inscrire,
envoyer avant le 30 septembre
de rigueur)
à :
« Union des Physiciens
a,
Laboratoire
Chimie - Physique
Faculté des Sciences
32, rue Mégevand
- 25030 Besançon Cedex.
-
La fiche
: no
no
no
no
no
1
2
3
4
5
inscription,
demande
l?ordre
de mission,
inscription
aux ateliers,
inscription
aux visites,
hébergement.
1981 (délai
1444
BULLETIN
DE L'UNION
DES PHYSICIENS
Si vous n?êtes pas concernés
par une OLI plusieurs
de ces
fiches, ayez la gentillesse
de les envoyer également
en ayant
soin de les barrer d?une croix, le travail du secrétariat
en sera
facilité.
ainsi
un chèque du montant
global
libellé :
Union des Physiciens,
Section de Franche-Comté,
C.C.P. n? 109525M
- Dijon,
de la fiche
d?inscription
- une enveloppe
14 x 21 timbrée à 2,50 F et libellée à votre
adresse (le tarif indiqué
est celui de mai 1981 - Attention
aux
augmentations
possibles !)
Résumé
des
conférences
L?ensemble
des conférences
est centré sur un thème unique :
la miniaturisation,
son importance,
sa place actuelle et son avenir. Les divers aspects qu?elle prend dans des domaines
variés.
-
-
Ce thème a été retenu :
à cause de son actualité,
à cause des incidences
qu?il aura à court et à moyen terme
sur la formation
des professeurs
et sur les techniques
pédagogiques,
à cause enfin de la spécificité
de la Région de Franche-Comté
et de son université.
Voici
le résumé
LA
de ces conférences
MCNIATURISATION
:
EN OPTIQUE
Pendant
plusieurs
siècles, les systèmes
quasiment
les mêmes malgré
l?amélioration
mances : lentilles, prismes, condenseurs,
etc.
est apparue
en 1970, elle a pour finalité
de
optiques
compatibles
avec les technologies
cheurs de la Bell Telephone
l?ont appelée
par analogie
avec l?électronique
intégrée.
optiques
sont restés
de leurs perforUne nouvelle optique
rendre les systèmes
modernes.
Les cher« Optique
intégrée »
L?intérêt
de ces nouvelles technologies
en optique est de réaliser des systèmes optiques
de dimensions
réduites,
d?intégrer
plusieurs
composants
sur un même substrat donc d?envisager
des
systèmes complets
sur plaquettes
enfichables.
On s?affranchira
ainsi, à l?avenir, des dispositifs
encombrants
dont l?alignement
BULLETIN
DE
L?UNION
DES
144.5
PHYSICIENS
précis est sensible aux vibrations,
aux gradients
thermique
et
hygrométrique.
L?optique
intégrée
est également
très adaptée
à l?optoélectronique,
les interactions
électro-optique,
acousto
optique
et magnéto-optique
étant grandement
facilitées
lorsque
les faisceaux
lumineux
se propagent
dans des couches minces,
soit en surface, soit dans une structure
multicouches.
De plus, les télécommunications
à très grands débits d?informations
seront de plus en plus assurées au moyen de dispositifs
optiques
mettant
en ?uvre les propriétés
de transmission des fibres optiques
et celles des composants
de l?optique
intégrée
ou de systèmes optiques
miniaturisés
pour les rendre
compatibles
avec les dimensions
géométriques
des fibres ; c?està-dire des fibres dont le diamètre
est de l?ordre
de quelques
dizaines de microns
voire de quelques
microns
dans le cas des
fiches monomodes
les plus intéressantes.
MICROMECANIOUE
: PLACE
ET AVENIR
En première
approche,
on considère
que la micromécanique
concerne la conception,
donc la fabrication
des petits objets qui
réalisent
des fonctions
diverses.
Dans une analyse plus précise des objectifs
fonctionnels
des
objets techniques,
on observe un perpétuel
accroissement
des
exigences. Cela conduit
à la recherche
de maillons
fonctionnels
les mieux adaptes, donc issus des horizons
les plus divers.
La place de la micromécanique
apparait
essentiellement
dans !es chaines
«courtes»,
les divers actionneurs
et capteurs
d?un objet technique.
(Tête d?impression
d?une imprimante
rapide, microactionneurs
hydrauliques
de prothèses, servovalves,...).
- Le composant
micromécanique
realise une ou des actions
bien spécifiques
d?un ensemble
complexe
et donc, à ce titre,
doit respecter
toutes
les contraintes
d?interfaçage
avec l?environnement
immédiat.
-
Il en résulte
des exigences
le comportement
des organes
davantage
déterministe
(actionneurs
«bandes ouvertesu par programme).
nouvelles
:
micromécaniques
doit
de robots commandés
être
en
Cela impose au concepteur
une recherche
dans la connaissance plus exacte des modèles de comportement,
donc de tous
les divers éléments physiques qui interviennent
dans la description.
1446
BULLETIN
DE L'UNION
LES MICROPROCESSEURS
DES PHYSICIENS
: POSSIBILITES
ET APPLICATIONS
Par la puissance de calcul qu?ils possèdent - comparable
en
moyenne
à celle d?un mini-ordinateur
- concentrée
dans un
volume réduit
et pour un prix allant de quelques
dizaines
de
francs pour les plus simples à 1500 francs pour les plus puissants (dont les capacités de calcul égalent celle d?un ordinateur
IBM 360/70), les microprocesseurs
permettent
la réalisation
d?un
grand nombre
de dispositifs
exigeant des traitements
d?informations et/ou des calculs complexes.
Une application
exemplaire
est la commande
des actionneurs
d?un manipulateur
articulé
d?assistance
aux handicapés
moteurs,
commande
qui exige la résolution
à grande vitesse d?équations
non linéaires
des sinus et cosinus des angles de rotation
des
articulations.
L?exécution
de ces calculs par un (ou plusieurs,
compte tenu de leur prix) microprocesseur(s),
à la place d?un
mini-ordinateur
encombrant
et onéreux, confère au manipulateur
une mobilité
et un prix de revient compatible
avec sa finalité.
PROGRES TECHNIQUES ET MINIATURISATION
EN PRATIQUE MEDICALE ET CHIRURGICALE
L?itinéraire
de la connaissance
et de la pratique
en médecine
est jalonné
au cours des siècles par l?invention
puis la pratique
d?instrumentations
particulièrement
adaptées
aus problèmes
à
résoudre.
On peut y retrouver
à la fois le niveau même de la
connaissance
scientifique
des praticiens,
le progrès des techniques
et les exigences croissantes
des méthodes
de mesure.
Le matériel
chirurgical
et de diagnostic
n?échappe
pas à cette
constante : il correspond,
avec un certain retard, au progrès tech-?
nologique
de l?époque, et crée par son emploi même les besoins
d?une méthodologie,
d?un mode de raisonnement,
d?une connaissance pour tout dire en perpétuel
mouvement.
Nous prendrons
pour exemple la technique
micro-chirurgicale
et la mini-instrumentation
utilisées dans les domaines de la pathologie des yeux chez l?homme.
La miniaturisation
des procédés de
chirurgie
ne cesse de s?accentuer
en même temps que se développent
l?emploi
du laser en pratique
courante
et 1?Claboration
des méthodes
d?examen
clinique
allant sans préparation
particulière à l?étude des couches cellulaires
de la cornée vivante.
BULLETIN
UTILISATION
DE
L?UNION
DES
DES MI~CROTECHNIQUES
PHYSICIENS
1447
EN ASTROPHYSIQUE
La majeure
partic des données expérimentales
utilisées
en
Astrophysique
provient de la détection
et de l?analyse du rayonnement
émis par les divers objets qui peuplent
l?Univers.
On
constate que les progrès majeurs en instrumentation
ont souvent
été associés à des applications
astronomiques
spectaculaires
des
systèmes à technologie
avancée : radiotélescopes,
télescopes optiques puissants, observatoires
spatiaux. Or, dans les décades qui
viennent de s?écouler, technologie
évoluée a souvent été synonyme
de miniaturisation.
Considérons
tout d?abord le cas des détecteurs
: des progrès
énormes
ont été faits depuis
la mise au point
des photomultiplicateurs,
qui sont la version
industrialisée
de la caméra
électronique
des Astrophysiciens.
Ces détecteurs
ne sont pas plus
encombrants
qu?une triode ou une pentode
classiques.
Ils permettent
de mesurer
des niveaux
d?éclairement
suffisamment
faibles pour dénombrer
les photons. Depuis quelques années, nous
assistons à un développement
très important
des détecteurs
à
substrat
en silicium
du type mosaïque
de photodiodes.
Ces détecteurs utilisent
la technologie
des mémoires
à semi-conducteur
du type RAM ou ROM (resp. : mémoire
à accès aléatoire
et
mémoire
de lecture).
Certains
d?entre
eux présentent
jusqu?à
250000 éléments
sensibles sur une surface de l?ordre
,de 1 cm*.
Des fabricants
équipent
déjà des caméras petit format avec ces
détecteurs.
Dans le domaine du traitement
du signal, les progrès majeurs
obtenus ces dernières
années ont été liés à l?apparition
des miniordinateurs
et des microprocesseurs.
De plus, les capacités
de
mémoire
de ces outils et leur facilité d?utilisation
étendent
énormément
le domaine
possible
d?investigation.
Là où l?astronome
pensait en terme de plaque photographique,
vignettage
et taille
du grain, l?astrophysicien
agit à l?aide d?une matrice
de photodiodes, d?une mémoire
transportable
et d?un microprocesseur.
On
peut se demander
où se trouve la différence
sensible ? Elle se
situe au niveau de l?accès au « temps réel » : diminution
des temps
de pose, possibilité
de transmettre
les images par voie radio,
accès à des programmes
d?observation
automatisés.
Quelques
exemples
concernant
deux expériences
astronomiques
spatiales
en cours de réalisation
à. l?Observatoire
de
Besançon
permettront
de présenter
des sous-systèmes
à technologie avancée faisant appel à des microtechniques.
BULLETIN
DE
liste
L?UNION
DES
PHYSICIENS
des ateliers
Atelier
(1)
Enseignement technique.
Atelier
(2)
Chimie en terminale.
Atelier
(3)
Physique en terminale.
Atelier
(4)
Premier cycle.
Atelier
(5)
L?informatique et les sciences physiques.
Atelier
(6)
Interface entre enseignement primaire et premier cycle.
Atelier
(7)
Bulletin de 1?U.d.P.
Atelier
(8)
Interface entre premier et second cycles.
Incidences sur la seconde commune.
Atelier
(9)
Formation
Atelier (10)
permanente.
Problèmes des laboratoires
de sciences physiques.
BULLETIN
DE L'UNION
liste
DES PHYSICIENS
1449
des visites
A) Besançon - Ville d?art et d?histoire.
Retour gare : 18 h 15.
B) La Citadelle et ses musées.
Retour gare : 18 h 15.
C) Le Mus&c des Beaux-Arts.
Retour gare : 18 h 15.
D) Etablissements Maty : Automatisation d?un centre de vente Joaillerie.
Retour gare : 18 h 15.
E) Centre technique de l?Horlogerie (C.E.T.E.H.O.R.).
Retour gare : 18 h 15.
F) Etablissements Stanley-Mabot.
Fabrication d?instruments de mesure linéaires.
Retour gare : 18 h 15.
G) Laboratoire propre du C.N.R.S. (L.P.M.O.).
Métrologie des oscillateurs.
Retour gare : 18 h 15.
H) Laboratoire d?Astronomie et de Physique spatiale de I?Université de Besançon.
Retour gare : 18 h 15.
1) Usines Peugeot - Sochaux.
Retour gare : 19 h.
J) Usines Solvay - Tavaux.
Retour gare : 19 h.
K) Etablissements Oevlikon - Ornans. Fabrication de matériel de
traction de grande puissance (S.N.C.F. - R.A.T.P., etc.).
Retour gare : 19 h.
L) Les t<Reculées du Jura » et Arbois
Retour gare : 19 h.
M) Les Salines d?Arc-et-Senans.
Retour gare : 19 h.
N) Etablissements Sormel : Robotique.
Retour gare : 18 h 15.
1450
BULLETIN
L?attention
suivants :
des
DE L'UNION
congressistes
DES PHYSICIENS
est
attirée
sur
les
points
-
certaines visites sont à nombre
ticulier
E - F - G - H,
de places
-
certaines
visites pourront
inscrits est insuffisant,
supprimées
-
pour les visites « extérieures
» : 1 - J - K - L - M, il est prévu
que le Restaurant
universitaire
mettra à la disposition
des inscrits des repas froids, de façon à pouvoir
avancer l?heure de
départ des cars.
Heures
de départ
être
des principaux
trains
très limité
: en par-
si le nombre
des
:
-
Direction
Dijon
- Paris
: 17 h 46 - 19 h 04 - 19 h 40 - 23 h 30.
-
Direction
Lyon
: 18 h 11 - 20 h 55 - 23 h 30.
-
Direction
Strasbourg
: 15 h 26 - 18 h 09 - 21 h 10.
Ces heures ne sont données qu?à titre indicatif,
la Direction
de la S.N.C.F. n?ayant pas encore programmé
les horaires
d?hiver
1981-1982. Il semble
toutefois
que très peu de modifications
seraient apportées
aux horaires
ci-dessus.
BULLETIN
DE L?UNION
DES
1451
PHYSICIENS
FICHE N? 1
JOURNEES
DE PHYSIQUE
- BESANÇON
des 6, 7, 6 et 9 novembre
1981
INSCRIPTION
NOM : Mme,Mlle, M. : ..<......<..........................................................................
Prénom :
... ....
..... ..... ............ ...... . . ..... .............
Etablissement d?exercice :
..........
:..
......._......_...........................,...,..,,,.....,,.....,........
....... .
.....
Tél. : . .........................
.........................................................................
Adresse personnelle :
Ville : ................................................................ Code postal : ..,.................,....
Académie :
.... ....
...... .,..................,..................,..........
Etes-vous accompagné(e) :
- par un membre de l?U.d.P. ?
OUI
NON
Indiquer son nom (1) : .. .... .... ......................................................
-
par des personnesnon membres de 1?U.d.P.?
OUI
NON
Combien ?
Arrivée
à Besançon
:
Date : .._.........................................
heure approximative : ............................
TRAIN
AUTO
par
Désirez-vous des fichets de congrès S.N.C.F. (2) ?
OUI
-
Repas de midi
Au Restaurant
NON
COMBIEN ?
:
universitaire
les vendredi 6, dimanche 8 et
lundi 9 novembre - Prix : 18 F (boissons et café non compris).
Indiquer le nombre de tickets désirés :
-
Pour le vendredi 6 novembre : ....................................................=...
-
Pour le dimanche 8 novembre : ........................................................
-
Pour le samedi 9 novembre : ............................................................
1452
-
BULLETIN
DE L?UNION
DES
PHYSICIENS
Au Restaurant
d?entreprises
SORETEF,
le samedi
Prix : 40 F (boissons - self et café compris).
Indiquer
le nombre
-
Pour le samedi
Banquet
et soirée
Participez-vous
Combien
Montant
de tickets
7 novembre
au banquet
du chèque
SECTION
DES
Prix
:
: 130 F.
OUI
?
?
à établir
-
: ......... ............. ........... .............. ......
folklorique
de personnes
UNION
désirés
7 novembre
NON
.,.,.._....._..,..._._.........................................
à l?ordre
de :
PHYSICIENS,
DE
FRANCHE-COMTÉ,
C.C.P. no 1095-25 M Dijon.
Droits
-
-
d?inscription
:
membres
actifs ou adhérents
de
1?U.d.P. ou de l?A.P.I.S.P.
et les
personnes les accompagnant
..
non membres actifs ou adhérents
et personnes
les accompagnant
.
Restaurant
universitaire
..
Restaurant
d?entreprises
. . . . . .. . .. . .
Banquet
Acompte
Hôtels
Hôtels
.
....
. . .. . .. . . .. . .. . .. . . .. . .. . . .. . .
logement
(par
chambre)
1 ou 2 étoiles
3 ou 4 étoiles
=
175 F x
=
18Fx
=
40Fx
=
130 F x
=
...
150 F
x
=
.. .
200 F x
=
:
. . . .. .. .
.. .
50Fx
..
TOTAL
Maintenez-vous
votre
bénéficier
d?un ordre
inscription
de mission
aux Journées
?
:
si vous ne pouvez
OUI
NON
(1) Dans ce cas, établir et joindre une copie de l?ordre de mission.
(2) Ont droit à un fichet de congrès S.N.C.F. : le participant,
son
conjoint et ses enfants mineurs célibataires.
BULLETIN
DE L'UNION
1453
DES PHYSICIENS
FICHE N? 2
Demande d?ordre de mission
Besançon 1981
Demande
NOM
d?ordre
:
GRADE
.
de mission
:
...<<<
d?absence
Prénom
:
...<<...,...<<...<..<........Echelon
:
.
FONCTION
.._.......
_.
Adresse
_. ...
: .................................................................................
: ...............................................................Code postal
Académie
(1).
: ...................................................................................................
ETABLISSEMENT
Ville
avec autorisation
.._......._._.__ Département
:
personnelle
:
..
. . .
: .......................
:
.... ........
. . .. . ... .. .... .. . . ...
.
Ville
..
: ,,,,.,.,,,,,,...,...........,,..................................Code postal
Tél. person.
:
.._.................
:
....
(1) Sauf pour les collègues de l?académie
de Besançon,
de mission et autorisation
d?absence
sont indissociables.
Précisez les dates pour
vous est nécessaire.
lesquelles
une autorisation
ordre
d?absence
Le nombre
d?ordres de mission étant limité, ils seront attribués dans l?ordre
d?arrivée
des demandes.
Cependant,
il est
demandé
aux collègues
dont les indices sont les plus élevés et
qui n?ont pas besoin d?autorisation
d?absence
de renoncer
au
remboursement
des frais de voyage. Merci.
BULLETIN
DE L?UNION
DES
FICHE
N? 3
1455
PHYSICIENS
Besançon 1981
Inscription aux ateliers
du samedi 7 Novembre 1981
: Mme, Mlle, M. : .,...._,,,,.....,.,<,,....,...............,,,,......................................
NOM
Etablissement
Ville
:
souhaite
:
,,..,,,,,, ._...,.,..,,. ..,,,._._.,.,,....,,,,........___....................................
.,,,.,........_.._.......,....................
Code postal
participer
à l?un
: ,....................... ......
des ateliers.
Choisissez les 4 ateliers qui vous intéressent
le plus et indiquez
votre ordre de préférence
par un numéro
dans l?une des cases
ci-dessous.
Le maximum
sera fait pour
vous satisfaire.
ATELIER
1
ATELIER
6
ATELIER
2
ATELIER
7
ATELIER
3
ATELIER
8
ATELIER
4
ATELIER
9
ATELIER
5
ATELIER
10
-----
BULLETIN DE L'UNION DES PHYSICIENS
1457
Besançon 1981
Inscription aux visites du
lundi 9 Novembre 1981
NOM : Mme,M??, M. : ........................................................................................
Etablissement : ........................................................... .... ..... ......... .... ........
Ville :
:.....................................................Code postal : ......._................
souhaite participer a l?une des visites figurant dans la liste cipersonnes,
dessous:Il (elle) sera accompagné(e) de
inscrites sur la fiche no 1 (la présence d?enfants est vivement
déconseillée pour ces visites).
- Choisissez les 4 visites qui vous intéressent le plus, et
indiquez votre ordre de préférence par un numéro dans les
casesci-dessous(la liste des visites figure page 1448du bulletin).
VISITE
A
VISITE
H
VISITE
B
VISITE
1
VISITE C
VISITE
J
VISITE
D
VISITE
K
VISITE
E
VISITE
L
VISITE F
VISITE
M
VISITE
VISITE
N
G
A quelle heure envisagez-vous votre départ de Besançon?
(les horaires des trains au départ de Besançon figurent page 1450
du bulletin).
BULLETIN
DE L'UNION
DES PHYSICIENS
1459
FICHE N? 5
Hébergement
NOM (en majuscules) : ....................................................................................
Adresse complète : ............................................................................................
désire la réservation de ....................chambre (s) à .................... lit (s)
pour ....................personne (s) - pour .................... nuit (s)
du : ...................................au soir, au ........................................au matin,
dans un hôtel de catégorie ............................ étoile(s) ou, à défaut
........................... étoile (s)
AVEC
SANS
BAIN
ou DOUCHE (1)
Tarif approximatif des chambres (2) :
1 étoile
50 - 100 F,
2 étoiles 65 - 180 F,
3 étoiles 185- 225 F,
4 étoiles 185 - 265 F.
- Les hôtels etant très dispersés, accepteriez-vous d?assurer
vous-même vos déplacements quotidiens ?
OUI
NON (2)
- Pour les catégories : 1 et 2 étoiles, un acompte de 150 F
est demandé. Pour les catégories 3 et 4 étoiles, un acompte de
200 F.
(1) Rayer les mentions inutiles.
(2) Les prix correspondantà chaque catégorie d?hôtel ne sont donnb
qu?à titre indicatif. La liberté des prix fait que la «fourchette B
est très large.
540
BULLETIN
Compte
rendu
Atelier
Le point
sur
DE L?UNION
DES
des ateliers
no 1 : ENSEIGNEMENT
la section
PHYSICIENS
(Besançon
1981)
TECHNIQUE
F3 +%ectrotechnique].
Au cours de l?assemblée générale de juin 1981, 1?U.d.P. avait
émis le v?u que l?enseignement des Essais et Mesures en Premiere et Terminale F3 soit effectué par l?enseignant de Sciences
physiques chargé de l?enseignement théorique. Ce v?u, qui reste
nôtre, est guidé par des intérêts pédagogiques : enseignement
théorique et enseignement pratique devant constituer un tout.
L?atelier regrette que l?on s?oriente
de façon qui paraît
inéluctable vers le partage, à parts égales, de cet enseignement
des Essais et Mesures avec les professeurs
des Techniques
Industrielles.
La concertation
promise au début de l?année en ce qui
concerne les structures
n?a pas eu lieu. Il reste par contre la
possibilité de concertation au niveau des programmes.
L?origine ,du partage des Essais et Mesures entre les deux
corps d?enseignement, Sciences Physiques d?une part, Techniques
Industrielles
d?autre part, provient essentiellement du manque de
professeurs de Physique Appliquée. Aussi est-il souhaitable d?augmenter le recrutement dans cette discipline. Une solution serait,
par exemple, de permettre à des Maîtres-Auxiliaires,
ayant un
demi-service, de le compléter par une préparation. au C.A.P.E.S.
ou à l?bgrégation de Physique Appliquée.
Classes
de
seconde
TI.
Ces classes qui existent encore dans certaines spécialités *
(textile, automobile, agencement) ont le sentiment d?avoir été
soit oubliées, soit négligées : - programmes datant par exemple de
1966 - programmes revus, mais incohérents avec la spécialité OU
l?horaire proposé - sujet ,d?examen inadapté.
Formation
permanente.
Cette formation permanente a un double but : - approfondir la formation initiale - se tenir au courant de l?évolution
technologique.
La nécessité de stages a été affirmée par tous. Le besoin en
est si fort que l?idée a été émise d?effectuer ces stages hors du
temps de travail, pendant les vacances par exemple. Cette surcharge de travail pendant la durée du stage, sera compensée par
la suite par une facilité de préparation de l?enseignement. L?obligation pour l?enseignant du technique de se former aux techno-
BULLETIN DE L'UNION DES PHYSICIENS
541
logies nouvelles et de les transmettre immédiatement à ses élèves,
le manque de documentation dans les domaines concernes,
rendent encore plus vitale la nécessité de stages suffisamment
longs et approfondis. Où effectuer ces stages? - il existe des
stages pour les professeurs de classespréparatoires. Il doit être
possible d?y intégrer les professeurs enseignant en B.T.S. - il
existe aussi des stages organisés par Nnspection Générale.
Il y aura d?ici février ou mars des stages pour les sections FI,
Fr et Fs. Les autres sections F devraient suivre. Ces projets constituent un point positif, mais restent encore en deçà de nos v?ux.
Infotiations.
- M. ODERMATT nous apprend qu?un projet d?arrêté prochai-
nement soumis au C.E.G.T., puis au ministére, va modifier pour
certaines sections F le libellé des groupes de Travaux Pratiques
en groupes d?Atelier, avec les avantages qui en r&ultent du point
de vue des effectifs.
- Il existe depuis la rentrée des nominations en classe de
Technicien Supérieur. Les collègues enseignant depuis plusieurs
années en ces classesen auront automatiquement le label.
Ate1ier.n?
2 : LA CHIMIE EN TERMINALE
Le débat dans l?atelier « chimie en terminale » s?est engagé,
d?abord, sur le volume du programme de chimie ; il a semblé
raisonnable à l?ensemble des participants, enseignant en sections C et D. Mais pour la section E, le déficit actuel d?une heure,
dans l?horaire hebdomadaire de la classe de première E, alors
qu?il n?est prévu aucun rattrapage en terminale, conduit, inévitablement, à un abaissement du niveau d?ensemble.
La discussion porte, ensuite, sur les différentes parties du
programme.
1. Acides et bases en solution aqueuse.
Pour cette partie dont l?enseignement se veut essentiellement
expérimental, les Partici#pants portent, donc, d?abord, leur attention sur les problèmes matériels :
- les pH-mètres, en nombre insuffisant et de maintenance difficile ; tous les lycées n?en possèdent, d?ailleurs, pas encore !!!
- les locaux permettant de les utiliser.
Une enquête rapide montre que la moitié des collègues ne
sont pas satisfaits et que, parmi les autres, les trois-quarts enseignent dans des lycées techniques ou comprenant des classes
préparatoires...
542
BULLETIN
DE L'UNION
DES PHYSICIENS
D?autre part, l?alternance physique- chimie, imposée dans de
nombreux lycées pour les travaux pratiques, oblige à traiter certaines parties en cours si on ne veut pas casser le rythme. Il
est bien évident, qu?en section D, I?horaire actuel réduit des T.P.
aggrave cet état de fait.
En ce qui concerne les commentaires
de programme, on leur
reproche que les objectifs n?y apparaissent pas clairement. Ainsi,
au cours de l?etude expérimentale d?une reaction acidobasique,
que faut-il qu?un élève ait retenu de la séance .au cours de laquelle
il a tracé la courbe pH = f(u) ?
Mais ce dont on est sûr,. c?est qu?aprés l?étude de ce programme, les élèves perçoivent bien l?importance
relative des
especes chimiques présentes en solution aqueuse; cela est déjà
décelable dans les secteurs post-baccalauréat, notamment dans les
classes de Mathématiques Supérieures.
2. ClnBtiqua
chimique.
La plupart des collègues estiment que la notion de vitesse
. de réaction et les facteurs dont elle dépend apparaissent bien
dans les travaux ?pratiques simples qu?on peut réaliser.
Mais ils regrettent qu?en ce qui concerne les mécanismesréactionnels, la rédaction des commentaires soit très confuse, tant
et si bien que, sur cette partie du programme, les écarts peuvent
être très grands d?un professeur à l?autre.
3. Chimie
organique.
Dans les commentaires n?apparaît pas la nécessité de
préciser :
- quel est l?agent chlorurant qui permet le passage aux chlo
rut-es d?aci?de?
- comment réalise-t-on la « perte * d?une molécule d?eau à partir
de deux molécules d?acide ?
Peut-on alors l?exiger à l?examen ?
Pour cet enseignement, se pose encore le problème de l?équipement des locaux. On ne peut manipuler certains produits,
comme le chlorure de benzoyle (liquide lacrymogène pouvant
provoquer des lésions oculaires) sans une hotte convenablement
installée et bien éclairée.
4. Le baccalauréat.
Des questions montrent qu?on ne peut accepter la rédaction
de certaines parties des commentaires.
Exemples :
TEXTE DES COMMENTAIRES
: u on pourra, alors, donner la
définition des acides et des bases selon Bronsted... n.
BULLETIN
DE L'UNION
DES PHYSICIENS
543
TEXTE DU SUJET D'AMIENS
: a ra$elet
la définition d?un
acide, et celle d?une base, selon la théorie de Brksted.
m
La session de juin 1981 a montré que, dans toutes les académies, les questions portant sur la chimie organique ont été très
mal traitées. Sans doute, parce que cette partie, très a lourde a,
du programme, a été traitée trop rapidement. Cela prouve, en tout
cas, qu?il nous semble inconcevable d?envisager une diminution
de l?enseignement de la chimie organique en première !
Atelier
ne 3 : PHYSIQUE EN TERMINALE
Un membre du bureau indique les conditions dans lesquelles
les allégements de programme ont &té décidés pour l?année 19811982.La discussion s?engagesur les points suivants :
1. Le volume global
du programma
de physique.
Il est impossible de conserver ce programme dans sa rédaction 1979 avec I?horaire hebdomadaire actuel de chaque section (D, C, E). Une grande majorité des participants souhaiterait
une augmentation d?une heure de l?horaire hebdomadaire. Certains insistent pour que cela n?entraîne pas un alourdissement
de l?horaire global de l?élève. On ne peut s?empêcher de noter qu?il
y a un grand déséquilibre entre l?horaire des sciences physiques,
et celui des mathématiques, à coefficient égal.
Il a été remarqué que les élèves de E ont, en terminale, le
même programme et le même horaire qu?en C alors que I?ho
r-aire de la première E est inférieur de 1 h à celui de la première C. Il s?ensuit des difficultés supplémentaires en terminale E.
2. Les dlffbrentes
parties
du programme.
A) Mécanique : Pour certains collègues, il semble difficile de
passer sous silence u Changements de repère et forces d?inertie n
mais l?unanimité se fait pour le maintien de la suppression, dans
l?énoncé du programme, du paragraphe 4 en C et du paragraphe 3
en D.
L?établissement de l?expression de l?énergie potentielle de gravitation n?est pas au programme ; si on veut faire intervenir cette
énergie dans un exercice, en C ou en E, il faut donc, au moins,
donner son expression littérale.
B) Electromagnétisme : A l?unanimité, l?atelier souhaite une
nouvelle rédaction des commentaires.
Certains participants se demandent (en D surtout) s?il est
indispensable d?introduire le champ électromoteur.
En ce qui concerne « l?action d?un champ magnétique? tmiforme sur un circuit indéformable parcouru par un courant g, s?il
544
BULLETIN
DE
L?UNION
DES
PHYSICIENS
est incontestable qu?il ne faut pas dépasser l?étude du cas particulier : cadre plan tournant autour d?un axe orthogonal aux lignes
de champ, l?axe étant contenu dans le plan du circuit, il semble
difficile de ne pas introduire du tout la notion de moment magnétique d?un cadre plan et dune aiguille aimantée. Un collègue fait
remarquer l?incohérence qu?il y a à supprimer cette partie expérimentale alors que les lycées, dans leur ensemble, viennent juste
d?acquérir le matériel nécessaire.
C) Vibrations et propagation
: Oscillateurs mécaniques en C
et en E : inquiétude générale que l?on retrouve ici des exercices
anciens du style «on met bout à bout deux ressorts Rt et Rz,
l?extrémité de Rt est fixe, celle de Rz est liée à un corps de
masse m... Y Tout au plus, peut-on envisager l?étude sur table à
coussin d?air horizontale de l?oscillateur constitué par 2 masses
reliées par un ressort.
EL3
D) Physique atomique
et nu&%ire
: La relation E, = -y
donnant les niveaux d?énergie de l?atome d?hydrogène doit être
rappelée aux élèves puisqu?ils ne peuvent pas la retrouver et que
le commentaire n?indique pas sa nécessaire mémorisation.
En C et E, de nombreux collègues souhaitent la suppression
du paragraphe 5 C<
Association onde-particule : justification de
I?existence de niveaux d?énergie ; particule dans une boîte à une
dimension ».
En D, un collègue souhaiterait le remplacement du paragraphe 2 consacré aux niveaux ,d?énergie dans un atome par l?étude
des particules de haute énergie.
3. Les contrôles.
Les professeurs considèrent, à l?unanimité, que les contrôles
sont absolument nécessaires,et qu?un certain volume horaire doit
leur être consacré : il faut en tenir compte dans l?établissement
d?un programme.
4. Déroulement
du bac.
- Demande d?une intervention très urgente pour une suppression supplémentaire en 1981-1982
dans les académies,pour lesquelles une modification des vacances d?été diminue l?année scolaire de deux, voire de trois semaines.
- Demande expresse d?un étalement des épreuves écrites de
façon à ce que les candidats n?aient pas sept heures d?épreuves,
dans la journée et qu?en aucun cas ne puissent être cumulées
dans une même journée les épreuves de mathématiques et de
sciences physiques.
- Les collègues enseignant en E demandent que les jurys
soient distincts en C et en E.
BULLETIN
DE L'UNION
DES PHYSICIENS
545
- L?harmonisation des sujets de C et D exige que les commissions de choix des sujets se tiennent simultanément au même
lieu et qu?il y ait concertation (dans certaines académies en 1981,
les sujets de D ont été plus ?difficiles que ceux de C).
- Pour toutes les sections, les collègues demandent que les
valeurs des constantes soient données dans l?énoncé des sujets.
5. Programme
de première
en
physique.
Des collègues rappellent que notre actuel programme de première C en physique est lourd, ils espèrent donc qu?il sera modifié
pour la rentrée 1982puisque, en plus, il fera suite à une seconde
de détermination.
Conclusion.
Les professeurs souhaitant conserver la logique du programme
mais alléger les commentaires ont adopté à l?unanimité le v?u
suivant :
« Les professeurs de terminales ont rencontré, pendant l?année scolaire 1980-1981,
de telles difficultés qu?ils ne pensent pas
qu?elles puissent être, à l?avenir, aplanies par l?usage. En conséquence, elles jugent indispensables:
1? que soit réexaminée la rédaction définitive des programmes et commentaires entrant en vigueur à la rentrée 1983.
La commission qui en serait chargée devrait comporter une majo
rité de professeurs ayant effectivement enseigné en terminales C,
D et E pendant les années 1980, 1981,1982;
2? et qu?une heure supplémentaire hebdomadaire soit accordée dans chacune des sections. »
Atelier
na 4 : PREMIER
CYCLE
Une quinzaine de participants ont examiné et donné leur point
de vue sur l?ensemble des programmes qui, maintenant, a été
enseigné dans les collèges.
1. Parties
du
programme
En sixième
présentant
des
difficultés.
:
- La chimie paraît la plus difficile à enseigner.
Les combustions, celle de la bougie en particulier, sont trop
difficiles à assimiler. Dans la combustion de la bougie, les paramètres sont trop nombreux ; il y a deux transformations physiques, en. plus de la réaction chimique, les produits formés ne
sont pas Lisibles. Des réactions chimiques faisant intervenir des
corps simples seraient plus faciles à comprendre (exemple Fe,
S,...).
546
BULLETIN
DE
L?UNION
DES
PHYSICIENS
- Dans la partie
propriétés
physiques
de la matière,
des
difficultés
apparaissent
au niveau du vocabulaire.
Par exemple,
dissoudre
et fondre sont longtemps
confondus.
D?une façon générale, ces difficultés
surgissent à chaque fois que le langage courant
est différent
du langage en classe.
- Quelques notions sont particulièrement
difficiles : exemples
distinction
chaleur - température,
poids et masse, la pression pour
laquelle la pression atmosphérique
qui sert de référence n?est pas
bien comprise.
- D?une façon générale,
il convient
de ne pas être trop
ambitieux.
En cinquième :
- La chimie permet de bien apprendre
à manipuler,
ce qui
devrait se faire dans toutes les classes. Mais elle ne permet pas
de comprendre
la notion
d?élément
(concept
trop abstrait).
On
doit se contenter
de parler de certains éléments (C, H, 0, S, Fe,
Ca), la masse volumique
n?est pas comprise. Toutefois,
son étude
permet la révision de deux grandeurs
vues en sixième : masse et
volume, notions qui ne sont pas encore bien maîtrisées
par tous
les élèves.
En quatrième :
- Le programme
puissance
et l?énergie
cinquième.
est intéressant
mais
électrique
devraient
trop important.
être étudiées
La
en
En troisième :
lations
Pas trop de problèmes,
à effectuer en classe.
si ce n?est le manque
de manipu-
2. Comment enseigner ?
Un enseignement
expérimental
satisfait la curiosité
des élèves
et favorise la com,préhension.
Mais... problèmes
de salles, matériel,
effectifs, crédits...
A tous les niveaux, il paraît utile d?insister
sur la notion de
mesure physique,
d?ordre
de grandeur,
et l?expression
correcte
d?un résultat
avec l?unité convenable.
Il faut profiter
de l?aspect qualitatif
pour chercher
à se rapprocher
le plus possible
de la vie courante,
en particulier
en
troisième
en mécanique
et énergie.
3. Qui privilégier?
L?enseignement
doit apporter
un certain nombre
de notions,
de savoir-faire
à tous les élèves.
S?il n?a pas pour finalité
de préparer
spécialement
ceux qui
entreront
en seconde, il convient néanmoins
de penser qu?un certain nombre d?acquis leur sera nécessaire.
BULLETIN DE L'UNION DES PHYSICIENS
-
547
Il semble qu?ils devraient savoir :
utiliser et lire de façon correcte les appareils électriques,
que la force est liée au mouvement,
.
manipuler (surtout en chimie),
écrire des bilans de réaction chimique.
Atelier
na 5 : L?INFORMATIQUE
ET LES SCIENCES
PHYSIQUES
Cet atelier a regroupé 83 participants.
- WINTHER a exposé au nom du Bureau national les raisons
de la création d?une commission informatique au sein de l?U.d.P.
et les objectifs de celle-ci.
- DARCISSAC a ensuite brossé un historique de l?implantation
de l?informatique dans l?enseignement.
La doctrine qui a présidé cette implantation a été que l?informatique devrait être une démarche de pensée nouvelle, transmise par l?intermédiaire de disciplines existantes.
Un langage commun a été choisi, le L.S.E. (langage scientifique
d?enseignement), dont la base est la syntaxe française, devant
permettre les échanges entre les différents établissements.
Le premier stade a été l?expérience des « 58 lycées » qui s?est
déroulée de 1970à 1975.
Des professeurs, de différentes disciplines, ont été formés sur
des miniordinateurs.
Des didacticiels ont été réalisés par différentes équipes dont
83 pour les sciencesphysiques.
Le deuxième stade se déroule actuellement avec l?opération
« 10000 micros » ayant pour but d?équiper les établissements de
8 micro-ordinateurs plus une imprimante.
L?opération doit se terminer en 1987.
A la rentrée 1981,après un gel de l?opération, 11 centres de
formation fonctionnent, regroupant 220 stagiaires dont 160 professeursde lycée comportant 40 professeurs de L.E.P. et 28 professeurs de sciences physiques.
- TRIGEASSOU a ensuite exposé les différentes utilisations
possibles de l?informatique dans l?enseignement des sciences
physiques :
* L?utilisation des calculatrices programmables,
* La simulation,
* Le traitement des résultats expérimentaux,
* Le traitement automatique des expériences,
548
BULLETIN
DE L'UNION
DES PHYSICIENS
* L?enseignement assisté par ordinateur (E.A.O.),
* Les b,anques de données.
De la discussion qui s?est instaurée ensuite et de l?analyse de
la liste des participants qui avaient été priés de mentionner leur
expérience en micro-informatique,
on peut tirer les conclusions
suivantes :
- la majorité des professeurs
présents ont utilisé un microordinateur ou tout au moins une calculatrice programmable,
- certains ont bénéficié d?une formation
courte, d?autres ont
pratiqué l?autoformation,
- certains ont eu de grandes difficultés pour utiliser la technique
informatique
dans leur enseignement; d?autres l?ont fait avec
succès.
Une des causes possibles de cette distorsion pourrait être la
diversité des disciplines d?origines des formateurs, les logiciels
étudiés au cours d?e la formation ne satisfaisant pas toujours
le physicien.
Les stages de 12 jours sont de toutes façons trop courts pour
permettre une maîtrise, par le professeur, de la programmation,
- un grand nombre de participants
de l?atelier souhaite que la
formation informatique
des enseignants soit prolongée par
une formation
particulière,
dans le domaine des sciences
physiques, en raison de la spécificité des besoins de cet
enseignement,
- ils souhaitent également qu?une diffusion des logiciels soit
faite dans tous les établissements.
Finalement, la conclusion la plus importante de l?atelier est
le v?u que tous les enseignants de sciences physiques reçoivent
une formation sur les techniques informatiques
leur permettant
de programmer
de petits logiciels et de modifier les logiciels
existants, de façon à ne se comporter en aucun cas comme des
consommateurs
passifs.
M. l?Inspecteur
Général ODERMATT a ensuite exposé les objectifs de 1?Inspection Générale en matière d?informatique.
Celle-ci n?a pas actuellement de doctrine strictement
définie
compte tenu de la nouveauté de l?implantation.
Un embryon de
doctrine est constitué par le préambule du programme des classes
de seconde de lycée.
Elle forgera sa doctrine à partir des différentes expériences
réalisées dans les établissements.
Elle ne souhaite pas que l?informatique
soit enseignée pour
elle-même mais par l?intermédiaire
des autres disciplines.
BULLETIN
Atelier
DE
L?UNION
DES
no 6 : INTERFACE ENSEIGNEMENT
549
PHYSICIENS
PRIMAIRE PREMI(ER CYCLE
A cet atelier, nous avons eu le plaisir d?accueillir une collègue
finlandaise qui nous a expliqué la structure de l?enseignement
des sciences physiques dans son pays. Les étapes sont comparables à celles existant en France avec un premier cycle à 3 ans.
Dans ce premier cycle, l?enseignement des sciences physiques est
dispensé dans des classes de 18 à 20 élèves.
Les autres participants étaient en majorité des professeurs
d?école normale, et en minorité des enseignants du premier cycle.
Nous avons d?abord dressé un constat de l?enseignement des
sciencesphysiques en primaire. La situation du premier cycle n?a
pas été examinée car d?autres ateliers l?ont étudiée.
Dans le primaire, la situation varie beaucoup d?une région
à l?autre. Souvent, les sciences physiques avaient pratiquement
disparu dans les années 1970.La remise en place de cet enseignement se fait lentement, difficilement.
Comment
1?U.d.P. peut-elle
fpvoriser
cette
remise
en place ?
- d?abord en approuvant les instructions officielles du cours
moyen et en le faisant savoir (surtout aux professeurs de collège pour qu?ils en parlent aux instituteurs lors des réunions CM2 en sixième).
En effet, ces instructions ne définissent pas un programme
à respecter, mais une attitude expérimentale à privilégier.
Or, le primaire bénéficie d?un énorme avantage sur les années
suivantes : le facteur durée qui permet une belle démarche expérimentale (le fait de travailler toute l?année dans la même salle
permet de laisser se prolonger des recherches expérimentales
pendant plusieurs semaines) :
- 1?U.d.P. peut aussi présenter dans le bulletin des exemples de
réalisations (tout le monde n?était pas d?accord car ces textes
existent souvent déjà dans les C.R.D.P.),
- l?U.d.P. devrait aussi agir en direction des instances administratives pour que les professeurs d?E.N. puissent intervenir
dans les classesprimaires sans se heurter aux I.D.E.N.,
- par l?intermédiaire des professeurs d?E.N., 1?U.d.P. peut encourager un début de spécialisation des maîtres et des échanges
de classesentre les maîtres d?une même école.
Ces échanges peuvent d?ailleurs atténuer fa rupture
CM2 en
sixième.
Pour atténuer encore cette rupture, l?U:d.P. peut faire
connaître aux professeurs ?de sixième, par le biais du bulletin,
les acquis qu?ils peuvent raisonnablement espérer de leurs élèves,
surtout dans les domaines du calcul et du français.
A
550
BULLETIN DE L'UNION DES PHYSICIENS
Atelier
no 7 : BULLETIN DE L?U.D.P.
Ce nouvel atelier a réuni une dizaine de participants qui ont
analysé le bulletin sur le fond et sur la forme.
1. Problèmes
de fond.
La discussion a porté notamment sur les points suivants :
entre les divers types d?articles (mises à jour générales, mises à jour plus précises, articles expérimentaux),
- le niveau des articles : le B.U.P. reçoit certes des articles du
niveau de l?enseignement supérieur mais il s?adressedavantage
aux professeurs du secondaire et récemment, un gros effort a
été fait pour le premier cycle. Cependant, cela ne va pas sans
difficultés : ,le B.U.P. tourne à partir d?articles spontanés et
d?articles provoqués par la rédaction (environ l/Se), notamment
en direction du premier cycle ; les auteurs n?en sont pas toujours faciles à trouver...,
- le problème
de l?extension
de l?influence du B.U.P. en premier
cycle a fait l?objet d?un long débat d?où il est ressorti qu?il
faudrait :
- un changement de niveau pour certains articles spécifiques
destinés aux enseignants du premier cycle (... auteurs à vos
plumes...),
- une augmentation du nombre d?articles rendant compte de
« leçons », mais l?U.d.P. se refuse à fournir des u leçonstype » même si elle a pu le faire pour certains T.P.,
- un travail de l?U.d.P. en direction des personnes les plus
en contact, avec les enseignants du premier cycle non touchés actuellement : collègues, formateurs ; ce travail impliquant une analyse des besoinsspécifiques des divers niveaux
du premier cycle,
- au niveau ,du second cycle, les articles ont paru nettement plus
intéressants aux utilisateurs. De même, l?augmentation du
nombre des articles destinés à l?enseignement technique est
bien accueillie.
-
l?équilibre
2. Problèmes de forme.
a) FORMAT.
Certains collègues ont fait demander une modification du
format du B.U.P. (passage au 21 x 29,7) et sa réalisation sous
forme de feuillets détachables permettant d?archiver les articles
et non les numéros reliés. Il s?agit d?une modification très importante car elle touche à l?emploi que l?on fait du B.U.P. L?idée
d?une enquête sur l?utilisation du B.U.P., sur la façon dont on le
lit a été lancée pour fournir un élément de décision à ce sujet,
mais les incidences financières ne devront pas être oubliées...
BULLETIN
DE L'UNION
551
DES PHYSICIENS
b) PRÉSENTATION.
Malgré une amélioration
de la lisibilité
des articles, certains
collègues ont demandé une présentation
moins austère, un renvoi
des calculs accessoires
en note ou à la fin, l?emploi
plus large
des encadrés, des titres plus précis.
Une analyse plus poussée des contenus
est demandée
par
l?apparition
de rubriques
mises au sommaire
avec indication
brève des niveaux. Une table analytique
complète
est souhaitée.
FLEURY
annonce la parution
de celle-ci pour février.
c) L?effort
fait en direction
du premier
cycle pèse lourdement sur la forme du B.U.P. Il semble en effet difficile
d?augmenter le nombre
des numéros
spécialement
consacrés
au premier cycle (3 bulletins)
et ces numéros
contenant
toute l?information
générale,
cela limite la quantité
de contenu
spécifique
du premier cycle.
11 n?a cependant
pas semblé souhaitable
aux participants
de
scinder le B.U.P. en un fascicule commun
et des fascicules par
niveau.
En conclusion
il a été rappelé que s?il faut encore davantage
d?articles
directement
utilisables
dans les divers cycles, il faut
aussi et surtout
des auteurs, et les auteurs... sont les membres
de l?U.d.P.
Atelier
no 8 : CNTERFACE PREMIER - SECOND CYCLES
SECONDE COMMUNE
Ce groupe qui a rassemblé
une soixantaine
de participants
recoupait
partiellement
le groupe 4.
En fait, trois heures de débats ont largement
justifié
son
existence :
un grand BESOIN D'ÉCHANGE entre les 2 cycles EXISTE et le
groupe fut avant tout un LIEU de DIALOGUE.
1. Passage en revue (rapide) de l?enseignement
dans le premier cycle.
Préliminkre
: un des buts essentiels de cet enseignement
est
l'appl-eIltiSSagf2
d'Lllle
MÉTHODE
EXPgRIMENTALE
problèmes
matériels
+ effectifs
buts affirmés et la réalité .
-
IllaiS
+
distorsion
entre
les
En sixième - cinquième
:
l?électricité
plaît ; l?expérience
(quand
elle est possible)
présente un aspect ludique,
les propriétés
de la matière,
c?est la difficile
approche
de la
masse, du volume et de la désormais célèbre... masse volumique,
552
-
BULLETIN
DE L'UNION
DES PHYSICIENS
jettent une première lumière rationnelle,
les combustions...
organisée sur un monde magique; la pose des premières assises de l?édifice « chimie ,> est ardue.
Au fur et à mesure qu?on glisse vers l?électromagnétisme
et
les éléments, on se rend de mieux en mieux compte que :
- les qualités de méthode et d?attitude, les démarches, .etc. préSfXteIIt
des CARACTÈRES PROPRES A LA PHYSIQUE IIkS
ZiUSSi, et
pour une part importante, relèvent de la CULTURE (ou FORMATION)
GÉNgRALE,
-
-
-
les objectifs pourraient être atteints si on disposait ,de plus
de temps et de meilleures conditions,
un choix dans les objectifs se trouve donc (malheureusement)
imposé,
l?on aboutit en fin de cinquième a une première ventilation
(L.E.P. ou quatrième) pour laquelle les sciences physiques ne
peuvent jouer le rôle qu?elles étaient en ,droit d?attendre.
En quatrième :
lumière et propriétés de la matière ne provoquent
pas de
commentaires,
les mesures électriques donnent aux élèves un savoir-faire jugé
intéressant, toutefois :
- là encore, il est difficile de manipuler (causes matérielles),
- la règle de 3 (!) ou la proportionnalité,
c?est dur !
En troisième :
la chimie est appréciée car c?est la seule partie permettant
des expériences. Structure de l?atome et bilans de réactions
ic passent bien »,
par contre, mécanique et énergie deviennent, bien involontairement théoriques... par manque d?expériences simples : un
appel pressant est lancé aux collègues ayant des idées.
BILAN
RAPIDE dans la perspective d?une entrée en seconde :
programmes
intéressants
+ temps et moyens limités +
programmes
et objectifs semblant ambitieux + SAVOIR
HÉTÉROGÈNE
avec cependant une BASE MINIMALE
ASSURl?E.
II. Premier bilan de la seconde commune six semaines
aprhs la rentr6e.
Première approche... épidermique : un collègue de seconde :
« On nous avait promis des élèves « gratinés B, on n?a pas
été déçu ».
Réponse immédiate : « On connaît ça depuis la sixième ;
ne vous plaignez pas, on les a. sélectionnés pour la
secondeB.
BULLETIN
DE
L?UNION
DES
PHYSICIENS
553
En fait, ces griefs portent sur le manque d?attention, les difficultés à réfléchir, calculer, s?exprimer; ils ne sont pas propres
aux sciences physiques.
Deuxième approche : I?organisation :
Les classessont-elles homogènes ou non ? on constate :
- que le « technique » est à part,
- que des classessont rendues homogènespar le jeu des
options (économie Nlourde », latin...),
- que les classes sont hétérogènes - si de nombreuses
secondes existent dans l?établissement - si le chef
d?établissement joue le jeu.
11 est constaté que, dans le cadre actuel, la multiplicité des
options se traduit par une importante dispersion (parfois trois
langues + sciences naturelles...).
Troisième approche : pédagogique. Où en sont les * nouveaux
élèves D?
- savoir-faire : l?aptitude à manipuler est en progrès. Les
élèves savent mieux mesurer, observer, organiser leur
travail, rédiger,
- attitude : curiosité et rigueur... en progrès, les élèves
sont capables d?autonomie,
- méthode : là encore un mieux pour la méthode expérimentale, l?utilisation de graphiques, d?instruments de
mesures.
On constate donc que les élèves sont plus capables de..., plus
avides de... ; ils semblent frustrés de manipulations (car ils savent
ce que c?est, pour avoir un peu utilisé ,,du -matériel... l?année où
les effectifs de la classe le permettaient) ; ils arrivent avec un
grand espoir de toucher, réaliser...
III. Travail en sous-groupes.
3 sous-groupesont approfondi, en fin de séance,trois domaines
spécifiques :
n e-3
dont les conclusions sont versées au compte rendu
n 4e-3e 1 du groupe IV.
n Seconde commune : les problèmes pédagogiquesfondamentaux.
Face au problème nouveau que constitue un enseignement à
des élèves de niveaux variés, les participants ont considéré comme
intéressante la grille d?approche proposée par l?équipe travaillant
sur ce thème (voir B.U.P. de novembre).
L?engagement est pris de centraliser les points de vue que fera
naître cette grille et de publier un document de synthèse à la fin
de l?année scolaire : toutes les contributions seront les bienvenues.
554
BULLETIN
Adressez vos textes
Q Seconde commune
DE L'UNION
DES PHYSICIENS
au Secrétariat
».
National
avec
la mention
:
Le temps limité n?a permis que quelques débats sur les pistes :
- quelle pédagogie ? différenciée
ou non ?
- quels contrôles ?
Sur ces sujets, les participants
ont manifesté
leur stupéfaction
devant les conseils donnés par des I.P.R. :
« le premier
trimestre
vous essayez, au deuxième
vous
faites deux niveaux »,
« les contrôles
doivent durer un quart d?heure », etc.
Dernier point... de première
importance
: la première
scientifique
commune.
C?est un non massif.
Atelier
no 9 : FORMATION
PERMANENTE
L?atelier
débute par la lecture de la lettre adressée par la
Conférence
des Présidents
des Associations
de Spécialistes
au
Fonctionnaire
chargé de mission par le Ministère
pour la formation des personnels
enseignants
du deuxième
degré.
Les actions entreprises
dans certaines académies sont ensuite
présentées.
Elles sont très diverses
:
- par leur origine : université,
structure
sauvage peu à peu officialisée, section académique
de 1?U.d.P. ;
- par leur ancienneté ;
- par leur mode de fonctionnement
: demi-journées
hebdomadaires, ou stage de plusieurs
jours consécutifs
;
- par leur souplesse de fonctionnement
: relation
avec l?administration
et évolution
de l?indemnisation
des formateurs
et
des stagiaires,
relation
avec l?inspection.
-
-
-
La discussion
porte sur :
les qualités
et les défauts du modèle I.R.E.M. ; les avis sont
très partagés ;
la nécessité de remédier
d?urgence
aux problèmes
posés par
la situation
de certains enseignants
du premier
cycle (complément de formation
initiale)
;
le délai exigé par la réalisation
et le traitement
des enquêtes
approfondies
nécessaires
à la mise en place d?une formation
continuée
valable à long terme et susceptible
de toucher tout
le monde ;
les circulaires
déjà parues qui ne disent rien quant à la formation continuée
des enseignants
du second cycle et qui, sans
BULLETIN
DE LkJNION
DES PHYSICIENS
555
exclure la participation des Associations de Spécialistes, ne la
considèrent pas comme obligatoire ;
- la nécessité de lancer les enquêtes permettant d?établir les
listes de stagiaires suffisamment tôt durant l?année scolaire
précédente pour permettre de dégager leur emploi ,du temps et
de résoudre certains problèmes matériels (locaux) ;
- la nécessité pour la formation continuée de répondre de
manière très proche aux préoccupations actuelles de l?enseignant dans ses classes.
Les dix principes élaborés par la Conférence des Présidents
des Associations de Spécialistes sont alors examinés.
Le paragraphe stipulant que : « la formation continuée doit
faire partie du service de l?enseignant en formation, et être prise
en compte sur le temps de service en présence des élèves » paraît
tout à fait fondamental.
A propos de la relation d?échange qui doit exister entre la
pratique enseignante et la recherche, une question est posée :
comment ? Cet échange pourrait porter sur l?attitude du chercheur
face aux problèmes qui lui sont posés, et sur la communication
des résultats essentiels récemment acquis.
On met l?accent sur la nécessité pour la formation continuée
de promouvoir les échangesentre professeurs en formation enseignant à des niveaux différents.
La phrase : « il ne doit pas y avoir d?animateurs professionnels » donne lieu à une longue discussion. On semble d?accord sur
le principe d?équipes de formation, variables d?un sujet traité à
l?autre, comprenant au moins un spécialiste et des enseignants
dont les préoccupations ne sont pas trop éloignées de celles des
professeurs en formation ; ces derniers devraient béneficier alors
d?une importante décharge de service lors de leur participation
à cette équipe. Le rôle important que doivent avoir, dans ces
équipes, les chercheurs dans le domaine de la pédagogie est
souIigné.
Au cours de la réunion, le grand intérêt des stages nationaux,
type C.N.E.S., Saclay... a également été évoqué.
Atelier
A) Crédits
no 10 : LABORATOIRES
de fonctionnement
et d?équipement.
En tête des nouveaux programmes, on lit : « La physique est
une science expérimentale et doit être enseignée comme telle ».
Les établissements devraient donc obtenir les moyens nécessaires à cet enseignement expérimental ; très souvent, ce n?est pas
le cas, ce qui est une malhonnêteté intellectuelle.
556
BULLETIN
DE
L?UNION
DES
PHYSICIENS
Créé dans les années 59, le C.E.M.S. a rendu de grands services. Il a permis la création d?entreprises,
la fabrication d?appareils scientifiques intéressants. Mais il a été victime de son gigantisme, et d?une politique néfaste de son autorité de tutelle. DU
temps de son fonctionnement,
des crédits spéciaux d?équipement
des laboratoires étaient distribués par les Recteurs.
Aujourd?hui,
les établissements
reçoivent pour leur équipement une somme globale insuffisante
et il ne reste rien pour
l?équipement du laboratoire quand les dépenses urgentes ont été
faites.
L?autonomie des établissements est acquise et il ne peut être
question de revenir en arrière. Il s?ensuit pour l?U.d.P. deux types
de revendications
:
a) Obtenir
la rédaction
d?une liste officielle du matériel
indispensable
à l?enseignement
des programmes,
ainsi que l?évaluation du coût de sa maintenance.
b) Faire déterminer la somme minimale des crédits de
fonctionnement au-dessousde laquelle la simple application des
programmes n?est ,plus réalisable.
Si, d?autre part, la création d?un nouveau centre national de
distribution n?est pas réalisable, il faudrait tout au moins créer
des centres régionaux pourvus d?ateliers de réparation. On aboutirait ainsi à la création de véritables « associations de consommateurs n d?appareils de sciences physiques, dotées des moyens de
tester la valeur, la robustesse et la fiabilité des?appareils proposés.
Une des activités de ces centres pourrait être la distribution
dans des conditionnements adaptés aux besoins des établissements des produits chimiques souvent vendus maintenant en
quantités non conformes à nos besoins.
B) Personnels
des laboratoires.
Si la création d?un nombre significatif de postes aux divers
concours de personnels de laboratoires témoigne d?un renversement de la politique, on est loin d?une situation acceptable. Il
est indispensable de définir un barème idéal et, surtout, de planifier les étapes de la résorption ,de la pénurie.
On insiste, en particulier, sur la situation catastrophique dans
laquelle se trouvent la plupart des collèges.
L?autonomie des établissements s?accompagned?un alourdissement des tâches de gestions du laboratoire. Les établissements
dotés d?un professeur attaché sont l?exception.
11est urgent que 1?U.d.P. définisse une doctrine concernant la
gestion. S?il est normal que l?ensemble des professeurs de l?établissement participent au travail du laboratoire, ce surcroît de
travail particulier aux Sciences Expérimentales doit être pris en
compte dans le service.