Rennes (1980)

LE LIVRET DU CONGRESSISTE
? Sous la présidence .................................................................................................................5
? Remerciements .....................................................................................................................7
? Plan du campus de Beaulieu ..................................................................................................9
? Plan du complexe universitaire scienti ique de Rennes Beaulieu ..........................................11
? Plan des amphithéâtres (A, B, C, D, E) ................................................................................13
? Résumé des conférences......................................................................................................17
? Exposants ............................................................................................................................27
? Programme .........................................................................................................................28
? Ateliers ...............................................................................................................................30
? Entretien pédagogique ........................................................................................................39
? Présentation d?expériences ..................................................................................................49
LES PARUTIONS DANS LE BUP
Comptes-rendus des ateliers
? Atelier n° 1 : problème du premier cycle .............................................................................55
? Atelier n° 2 : atelier technique.............................................................................................59
? Atelier n° 3 : problèmes de la seconde commune.................................................................61
? Atelier n° 4 : sur l?enseignement de la physique en première................................................64
? Atelier n° 5 : chimie en première ........................................................................................65
? Atelier n° 6 : nouveaux moyens de contrôle des connaissances .............................................66
? Atelier n° 7 : laboratoire ......................................................................................................67
Humour
? Les retombées gastronomiques des journées de Rennes .......................................................71

UNION DES PI-IYSICIENS

.JOURNÉES

placées
Monsieur

sous

NATIONALES

la présidence

l'inspecteur

Général

de
SAISON

RENNES
2 - 5 Novembre

1880

UNIVERSITÉ

DE

RENNES

Avenue
du Général
Leclerc
Campus
de Beaulieu

1

Le Comité d'organisation
ses remerciements
Il

à tous

tient

ceux qui lui

à citer

- Monsieur
- l'U.E.R.

"Sciences

- le Centre

Général

- la Municipalité
- le Centre

cours

les

de Rennes,

et Propriétés

de la Matière",

de Télévision

et Télécommunications,

d'Ille-et-Vilaine,

de Rennes,

Régional

- le Syndicat

concours.

1,

Commun d'Etudes

- le Conseil

leur

1980 adresse

:

de l'Académie

de Rennes

Nationales

ont apporté

particulièrement

le Recteur

- l'Université

et tous

des Journées

des Oeuvres

Universitaires

d'Initiative

de Rennes

organismes

qui recevront

de ces Journées.

les

et Scolaires,

congressistes

au

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Campus de Beaulieu

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RESUMEDES CONFERENCES
MESURESRELATIVES AUX PARTICULES POSITIVES
INTRODUCTIONA LA SPECTROMETRIEDE MASSE
Au cours
I.
II.

de cet

Généralités

exposé,

sur les

Exemple d'un

spectromètres

spectromètre

1) Description,

seront

abordées
de masse

équations

générales,

Application
1) Mesures

de la spectrométrie
précises

2) Fragmentation
structures.
3) Dosages

de masses
de grosses

questions

(sources

de masse moderne

2) Les ions métastables
: possibilité
molécules
pendant le trajet.
III.

les

:

accélération).

:
d'un

de fragmenter

spectre.

des ions

ou des

:

(de 4 à 7 décimales

molécules

d'ions,

enregistrement

de masse

suivantes

organiques

exactes).
: détermination

des

isotopiques.

4) Alimentation
gazeuse.

du spectromètre

de masse par un chromatographe

en phase

M. CARRIE.

CINETIQUE ET MECANISMEDES REACTIONS
Les réactions
de substitution
nucléophile
bimoléculaire
sont parmi les
processus
moléculaires
les plus importants.
Elles ont été très étudiées
et ont
permis d'établir
des relations
entre structure
et réactivité,
d'obtenir
des informations
sur les effets
stériques
et les effets
des solvants,
mais la nature
de l'état
de transition,
difficile
à connaître,
intrigue
toujours
les chimistes.
On présentera
des résultats
récents
concernant
les études,
en phase gazeuse,
des
réactions
de substitution
nucléophile
sur un atome de carbone saturé et d'addition nucléophile
sur un carbonyle.
On examinera le cas de certaines
substitutions
nucléophiles
qui, amorcées par un transfert
monoélectronique,
se déroulent
selon
un processus
radicalaire
en chaîne.
L'intervention
des transferts
électroniques
dans les substitutions
électrophiles
aromatiques
sera aussi envisagé.
Enfin, le
rôle des catalyseurs
sera évoqué.
M. FOUCAUD

LE ROLE DU PROTONDANS LES REACTIONSCHIMIQUES
EN SOLUTIONAQUEUSE
+

ticulier

L'ion H joue un rôle fondamental
dans de nombreuses
lorsque celles-ci
se produisent
en solution
aqueuse.
On envisagera
successivement
:
+
- l'état
de solvatation
de H en solution

aqueuse,

réactions,

en par-

- les réactions
acide-base
; définition
aqueuse;
échelle
d'acidité,

et mesure

du pH en solution

- lgs rBactions
d'oxydo-rBduction
: importancg
dg l'élgctrodg
à hydrogène dans l'établissement
d'une échelle
de potentiel
; influence
du
pH sur les réactions
d'oxydo-réduction.
Quelques

comparaisons

seront

faites

avec des solvants

non aqueux.

M. TALLEC.
L'ENSEIGNEMENTDE LA CHIMIE
EN RELATION AVEC LES PROBLEMESD'ENVIRONNEMENT
L'homme est en relation
avec des milieux renfermant
des produits
chimiques. Les nuisances
possibles
de ces substances
sont étroitement
liées à leurs
propriétés
physiques,
chimiques
et biochimiques.
On montre d'ailleurs
que les
techniques
de traitement
et d'épuration
des milieux,
air et eau, reposent
sur les
mêmes propriétés.
Des rBactions
Par exemple, on montre
- l'action

étudiées
dans
les conditions
de l'ammoniaque

- la réduction
l'action

l'oxydation
Quelques

et des amines

sur le chlore;

des nitrates

des nitrites

- l'ozonation

les classes
de lycées illustrent
l'exposé.
et applications
de réactions
telles
que :

sur les

des ions

manganeux

de l'éthanol

exemples

amines
;

par les

de biotraitements

ions

bichromates.

complètent

l'exposé.
M. MARTIN.

ACTIVITES ET ROLE DU C.C.E.T.T.
Le Centre Commun d'Etudes
de Télévision
et de Télécommunications
situé
a été créé en 1972 pour effectuer
des études qui relevaient
à la fois
de l'Office
de la Radiodiffusion
et Télévision
Française
et du Centre National
d'Etude des Télécommunications
(C.N.E.T .. ).
à Rennes

tudier

les

En même temps, le C.N.E.T. a créé au C.C.E.T.T.
problèmes liés à la télé-informatique
appelé
Enfin,

ces nouveaux
tibilité.

le

Centre

de

Rennes

de télécommunications

a la

charge

des

et de radiodiffusion

un service

chargé

d'é-

TRANSPAC.

études

concernant

et d'en

En réalité,
le C.C.E.T.T.
a trois
domaines d'activité
l'audio-visuel,
la télé-informatique,
les télécommunications
réseaux susceptibles
de marier ces trois
techniques.

; il

G. BRUN.

étudier
essentiels
étudie

les

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de l'analyse,du coursà la
pratique,R.Barra,
vol. 1 : nombresréels,suites,
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limités,
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' généralisées.
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structureet
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physiques

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année,L Ep1stemon.
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PROGRAMME

9 h 00 -

9 h 30

9 h 45 - 11 h 15

Séance

d'ouverture

Mesures relatives
aux particules
positives
: introduction
à la
spectrométrie
de masse.

R. CARRIE
Professeur à l'Université
de Rennes

Demi-journée
de l'Inspection
Générale
Physique atomique et nucléaire
en
classe
terminale.

A. SAISON
Inspecteur Général de
l'Education

11 h 30 - 12 h 30

14 h ,,

sr~iÇ;

~~

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9 h

!o -

12 h

001
14 h 00 - 17 h 00

17 h 30

¼ rf) u.. {_

pédagogiques
ou
Exposition
et expériences

Ateliers

Visite

ou
du Parlement

A

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1~

Réception à l'Hôtel

y~

de Ville
de Bretagne

d.

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--------PROGRAMME

8 h 30 - 10 h 00

10 h 15 - 11 h 45

des réactions.

A. FOUCAUD
Professeur à l'Université
de Rennes

Le rôle du proton dans les réactions
aqueuse.
en solution
chimiques

A. TALLEC
Professeur à l'Université
de Rennes

Cinétique

et mécanisme

des Ateliers
Compte-rendu
partiel
(première

14 h 30 - 16 h 00

de la chimie en relation
L'enseignement
avec les problèmes de l'environnement.

16 h 15 - 17 h 15

Activités
d'Etudes
cations

17 h 30 - 18 h 00

des Ateliers
Compte-rendu
(deuxième partiel

20 h 30

au Château de la
Banquet de clôture
(Ille-et-Vilaine)
à Cornillé
Bicheptière

Journée

et rôle du Centre Commun
et Télécommunide Télévision
(C.C.E.T.T.)

consacrée

aux visites

d'usines

G. MARTIN
Professeur à l'Ecole Nationale Supérieure de Chimie
de Rennes
G. BRUN
Ingénieur en Chef des
Télécommunications

Se munir de la carte
d'entrée

et au tourisme.

25

ATELIERS

1.

Atelier

2.

Spécificité

3.

Problème

4.

Bilan

de l'enseignement

de la physique

5.

Bilan

de l'enseignement

de la chimie

6.

Nouveaux moyens de contrôle

7.

Questions

premier

cycle.

des sciences
de la Seconde

de Troisième

à l'Université
universitaire

technique.

commune.

relatives

seront

de Paris

VII,

de Recherches

et de la Technologie).

dans l'enseignement

en Première.
en Première.

des connaissances.

de laboratoire.

Des expériences
classe

physiques

présentées

à l'enseignement

sur

l'énergie

en

par M. LEMEIGNAN,Maître-Assistant

membre du L.I.R.E.S.P.T.
pour l'Enseignement

(Laboratoire

des Sciences

Inter-

Physiques

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Thermodynamique

Mécanique relativiste
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LEVY-LEBLOND : La physique en questions:
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Chaque physicien sait qu'il n'a en général compris les théories physiques apprises à l'université qu'en les
pratiquant au laboratoire ou en les enseignant. Dans cette collection de questions de physique, dont le premier
fascicule est exclusivement consacréà la Mécanique, le professeur LEVY-LEBLOND vise à démontrer qu'il faut
développer le «sensphysique», cette capacité de faire de la physique (théorique !) avec les mains.
Trois types de questions avec réponsespeuvent être distingués :
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Cahier de laboratoire
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pour les 3 sections

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Les sciences physiques auiourd'hui
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1re AB : Manuel et livre du professeur

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de, phyJ.iiqu.e,de, Te,11.minale,e.-6.t c.e,11.taine,Yr!en,t la. palttie

où le~

mod,i,fJ,i_c_a.;(:_j_onJ.J
a.ppo!Gtéer.i à l' a.nc.,i,en p1tog1ca.mmee,t où ler.i

,i,nnova.;t_j_onJ.J
;.,on,t le-6 plu.-6 ,i,mpo!Gtam:e;.,.

La de,mi-jou.11.née,de, l'InJ.Jpe,e_.tion Géné11.ale au.x jou.11.née-6de Renne,;.,

L' I nJ.Jpe,e_.tio
n Génél!.ate, Mu.ha.ile, pM ~e,u.11.;., qu.e,lu
c.onc.e,11.nant
l' enJ.iugne,me,nt de, c.e.tte, pa,tr_;ûe,du. p11.og11.amme,
Mie.nt

éc.h.a.ng
U
nomb11.eu.x.

µ.

Cinématique, et énMgétiqu.e, de.-6 c.hoc.-6. Le, p11.o
blème à deux c.ol!.p-6.Ré-6é11.enuel
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Exemple:

Y-a-un t!tuc.? une balle de, pingpong

un poin.1 pl~

peut ap1tè1.>
Jte,bond, a;UundJte

élevé que. le. poin.1 d'où elle. a. é.té la.c.hée. 1.>a.Mvite.Me..

Le c.alc.u.l t!tè1.>1.i--i.mptedan1.ile, c.M où lei.> vile1.>1.>e1.>
Mnt

c.olinéai-

Jte,1.>peut ê;t!c_e,
généJt~é.
2. - Choc.1.ie.t c.inétique. c.himique..

Van!.>un c.hoc. quelc.onque. il

y a c.oMe.Jtva.:tionde. la vile.Me. du

c.ent!te. de, maMe du .6!J.6tème,,le.-6 ê.c.hange-6d'é.ne.Jtgie, e.nt!te. le-6 di66é1te.nt.6

Appüc.ation

aux 1téac.tion1.i c.h--i.mique-6.

notion de. c.hoc. e.66ic.ac.e.
le, c.hoc. t!tiple. de. Mn de. héac.tion.o e.n c.haine.
Obtention du deu:téJton pM p

+

n

?

d

~

Une, 6açon d'abo1tde,1tlei.> Jtéac.tion-6 de. 6i.6.oion? Un neu.t!ton the,Jtmique Jte,nc.o
nt!te, un noyau d' u.Jtaniu.m235 e.t e1.>tabMJtbé. Q_ue.Ue.e..6t l' éneJtgie,
c.inétique, du noyau obtenu?
Conc.lMion.

Qu'e..6t devenue, l'éne,Jtgie, c.inétique. pe,Jtdue,?

Applic.ation.o.
4. - Ac.ude,n,t de, vo,i;t.u.Jte,e.t anneaux de c.oUi.oion.o.

Veux vo,i;t.u.Jte,,6ide,ntique,-6 .oe. heu.Jttent à 60 km/h.

ili

Lei.>

dégat-6 .oont-

lei.> même-6.oi l'une. del.>voilu.Jte.-6e.-6.t--i.mmo
bile. avant le. c.hoc., l' au.t!te.

Jtou.lant à 120 km/h?
Ve même e.n méc.anique, Jtelativi.ote,

le p!toblème, de. l' éneJtgie, c.iné-

üque. "u.;t,Ue," loM d'un c.hoc. pe.u.,t êt!Le. ê.,tudiê. e;t en pa!L,Üc.u.Ue!Lc.elu.i de
l'éne,Jtgie de .oeu.il de. c.Jtéation de. pahtic.u.le1.>.

A. SAISON

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E66ct Compton; e.bbct photoéfe.c_:t!uque.. Le.-6Uève.-6 ont été pnéalabfeme.nt
à de,ux pa!l..Üc_ule,-6.A ptwpo-6, il
exe/1-cé-6à étud,le/1..de-6 inte.11..a,c_.:Uon-6

le. phénopoM JLame.ne.n
6o..,Lt,e-6

,i_mponta.nt de. Mu.,û,gne.n fe-6 appnoraa.lion-6
mène.à un choc_ photon-éfe.c_~on übne..

il

e-6:t

Au -6uje.t de. f'e.66ct photo éfe.c_:t!uque.,

de. con-6idénM non -6e.ufe,me.ntfa con-6e.hva.lion de. f' éne.ngie., mai-6

e-6t utile.

aM-6i c.ille. de. fa quantité

de. mouveme.ntpoun bie.n ne.pfac_e.nc.e. phénomène.

daVl-6le. c_adne.du nouve.au pnognamme..

Re.fa.livdé

he-6~unte..

mique.. On ne. po~a

Le. pnognamme.pné.vod pnudemme.ntune. appnoc.he.dyna-

évde.n de.-6que-6tion-6 de. type. uné.ma.lique. de. fa pMt de.-6

Uè v e-6? Que.f-6type.-6 d.e.né.poVl-6e.-6apponte.n ?
Vé-6intégnation

nadioac.tive..

En vue. de.-6T.P. il

6aut pfac.e.n l'étude.

de. c_e.

phénomène.daVl-6un c_adhe.pno babilMte..

H. GIE

V.e-6pan,t,.i,c.ufe-6autant

que. de. buoin.

Ve. toute-6 fe-6 pan,t,.i,c.ufe-6é.fé.me.ntaihe.-6,ct il

y e.n a be.auc.oup,

de. te.nminale. C, E -6uggène.nt de. -6e.l,i_m,.i,,te.n
fe.-6 c.omme.ntaihe-6de.-6pnognamme.-6

à 6 ou J. L'e.-6-6e.ntie.f n'e,-6t pM de. pahfe.n d'une. pan,t,.i,c.ufe.mw
du domaine. de. phy-6ique. daVl-6fe.que.f ille.

inte.nvie.nt.

de. pahfe.n

NoM ne.tie.ndhOVl-6donc.

- photon - ne.~on

- Ue.c.thon poun fe-6 pnophiété.-6 de. l'atome.

- rho:ton poun fe.-6

e.66e.:t6pho:toéXe.c.:t!uque-6ct Compton, ct poM

ex du noyau.

fa de.-6e.xwa.lion y.
- ne.uthino poM fa nadioac.tivilé.

s.

- mé-6on TI poun fa c.onve.Mion é.ne.ngie.-mM-6e..
PM aiff e.uh-6on ~ou v e. aM-6,.i, daVl-6f e-6 c.omme.nta.ihe-6 c.dt e. phnM e.

3t

de. po.JL.le.lL
: dv.i éta.:u de. c.haJtge.du TI, du po!.),ÜJr..one.t de. ,t'anûne.utJuno.
Ave.c. c.e.u on pe.ut éCJulLe.iv.i

s-+

ILéac.ûon!.) de. bMe. de. fa ILadioac.üvdé
e.n g éné!tal v.it déüc.at,

manièlLe. e.x.ac.te.. ( Cde.lL fv.i antipa!LÜc.ufv.i

de.

ma-.i/2on

pe.ut évoque.IL,ta c.lLéaûon de. pa,,[11.e.
e.t l'anniWaüon).
Pe.ut-ê.tJr..e.pe.ut-on évoque.ILie. 6ad

üc.ufe.!.) pfM

que. C.e/2paJtt,,[c.ufe.!.)éiéme.ntai-

6ondame.ntafv.i : ,tv.i quaJtfè!.)
(un plLoton

3 quaJt/u,

un mv.ion TI= un quaJtfè + un antiqua!Lfè),

c.v.i qua/Liu, que. l'on

c.he.lLc.he.
de.pu,,[!.)dix an!.).
En bJte.nque.fquv.i idée.J.:i/.:,UJtfa phy1.:,ique.de.J.:ipa!LÜc.ufe.J.:iJ.:,e.Jtont
paJ.:i) ~tlte. e.n!.)ugné
plLé!.)e.ntée.!.),e.n dégage.ant c.e. qui do;__,t,(e.t c.e. qui ne. do;__,t,
e.n te.11.minafe..

J. VUBOC

{)e.ux tJtavaux pltaûquv.i

de. ILadioac.üvdé.

Le. but de. c.e.tltavail

d'Uudie.lL

l'ab!.)olLpûon

v.it de. montlte.lL e.xpélt,,[me.ntafe.me.nt
ie. c.Mac.-

du 11.ayonne.me.nt
1Ladioac.û6-

La 1è.lLe.manipu,taüon

(2e. manipulation).

pe.11.me.t
e.n outlte. d 'intJtodu,,[Jte. ie. voc.abu,tcwe.

vafe.u.Jtmoye.nne., va!tianc.e., éc.a!Lt
uÜÜ!.) é e.n !.),t,aû!.)üque. : hj__/.),t,oglLamme.,
type.. Elle. a be.auc.oupintélLe/21.)é ,tv.i Uèvv.i

dè!.) fa ÛM!.)e. de. !.)e.c.onde.
foM

de. i'e.xpélt,,[me.ntaüon.
La 2ème.manipu,taüon
notion

d'angle. Mûde.

pe.11.me.t
une. applLoc.he.e.xpélt,,[me.nta,te.de. fa

e.t le. c.afc.uf du ILe.nde.me.nt
de. ,t 'in!.)taffaûon

pouJt ,ta

déte.c.,tio n dv.i B

u dv.i

y.

EUe. pe.tr..mdd' abo1tde.1tégaie.me.nt fa p1tote.ctio n

e.uJLd' éc/i.a.n) .
(dé.te.tr..mination de. la demi-é.pa.,,é,6.6
Le. matéltitl

M?.ltap!Lé.6enté e,t fv.i e,xpéltie.ncv.i .6eJtont Jtéaii.6 ée.-6.

H. LE BAIL

AMouation

onde.-paltticule.

: "La bo2.te. à une. cume.nJ.i,fon".

- Exe.mpfe.J.ide. puit-6 de. pote.ntie.f
à une. dime.nJ.iion (atome. d'hydltogène.,

e,t modèle. d'un puit-6 ca.JrAé

molécule. d'hydltogène., noyau).

- Etat-6 J.itationnaiJteJ.i e.t état-6 non J.itationnai!Lv.i danJ.ila Jté-60bfème. : inté.tr..ê;t de.li étau
lutio n quantique. du ptr..o
e.t futltibution
tio n de. ptr..éJ.ie.nce.

de. l'impufJ.iion

J.itatio nnailtv.i, di.éitJLibudanJ.i de. te.l-6 état-6 ; étau

non J.itationnai!Le.J.ie,t 6tr..éque.ncv.ide. Bohtr...
d' ütr..e. évoquée.-6 e.n
- Quûque.J.i idév.i impotr..tantv.i J.iUJ.ice.ptibfe.J.i
ÜMJ.ie. Te.tr..minaie.: quanti6ication

de. f'éne.1tgie. de.J.iétau

de.
lié-6, otr..dtr..e.

de.J.inive.aux d'éne.tr..gie. dépendant de. fa mMJ.ie.de. fa paltticule.
gtr..ande.utr..
de. la cume.nJ.iiondu puit-6, fimdv.i

du modèle., 1ttlation

e.t

de. Hwe.nbe.1tg ...

M. BURIE

PRÉSENTATIOND'EXPÉRIENCES

Des, expériences
de travaux

salles

à caractère

pratiques

pédagogique

du 2ème cycle

seront

(bâtiments

présentées

dans les

6 et 7 du plan

du Campus).

EXPERIENCESSUR LES ONDESCENTIMETRIQUES.
par M. PRIOL.
Analogies

des ondes

centimétriques

et des ondes

1) Polarisation

du rayonnement

2) Focalisation

par une lentille

3) Interféromètre

de Pérot-Fabry

4) Interféromètre

de Michelson.

lumineuses.

EXPERIENCESSUR LA CORROSIONDES METAUX.
par R. HAZARD, J.

matériel
le rôle

SARRAZIN.

Les expériences

présentées

courant

ont pour but de mettre

; elles

des différents

facteurs

peuvent

toutes

intervenant

être

réalisées

en évidence,

avec du

de façon

dans la corrosion

simple,

électrochimi-

que des métaux.
L'aspect
tation

théorique

des phénomènes

sera

tion

peuvent

thermodynamique

du métal

aux notions

nécessaires

à l'interpré-

observés.

Les manipulations
- aspect

limité

être

classées

de la corrosion

et du milieu

dans lequel

il

d'un
est

de la façon
métal

plongé

suivante

influence

de la nature

(en particulier,

interven-

du phénomène de surtension

; mesures.

de la complexation).

- aspect

cinétique

- mécanisme

de la corrosion

différente,

plongées

d'Evans,
tration

: mise en évidence

contrôle

électrochimique

dans un milieu

anodique

à électrodes

homogène (rôle

ou cathodique

identiques

: piles

à électrodes
des impuretés,

; piles

de la corrosion)

: corrosion

de nature

par aération

diagramme
de concen-

différentielle,

piqure.
- passivation
polarisation

du fer

et du chlore

anodique

; potentiel

: aspect

qualitatif

de Flade.

tracé

de la courbe

de

tection

les

pro-

d'électrons

- Photoémission

Français

Physiques

de masse

le

"haute

présentera
cadre

des

photo-électrons.

où M. GUENOT, Ingénieur,

de l'Ouest

de l'Holographie

3 Novembre dans

des

énergétique

1 e spectrographe

présentera

lundi

lents

- Distribution

de Mesures

- Centre

le

visitées

être

de recherche:

bâtiments

Le Musée

pourront

suivantes

expérimentales

installations

Diffraction

hologrammes

cathodique

anodique.

Les
dans

protection

anode sacrifiée

électrochimique

- protection

résolut

quelques

"Expositions

ion".

uns de ses
et

expériences".

41

..

'

BULLETIN

Compte
JOURNEES

DE L'UNION

rendu

des ateliers

DE

: RENNES,

Atelier

L?U.d.P.

n? 1 : PROBLEME

577

DES PHYSICIENS

2 au

DU

de Rennes
5 novembre

PREMIER

CYCLE

Il comprend
une trentaine
de participants.
Mite BARBOUX. Il se déroule en quatre parties :

Il est animé

MIle BARBOUX
informe
les participants
des actions
par l?U.d.P. au sujet du premier
cycle,

l

1980

par

entreprises

à l?occasion de cette information,
des échanges s?instaurent
sur
les conditions
matérielles
rencontrées
dans différents
collèges,

l

on aborde

l

ensuite

un sujet

enfin une expérience
de participants.

l

INFORMATIONS
-

but

Action
d?obtenir

SUR

d?ordre

pédagogique

LES

ACTIVITES

menée auprès
un allégement

pédagogique,
est présentée

DE

par un groupe

L?U.d.P.

de la direction
des effectifs

des collèges,
de classe.

dans le

-

Contacts pris avec les associations
de parents d?élèves.
- Proposition
pour que les professeurs
participent
par leurs
témoignages
à la constitution
d?un dossier décrivant
la situation
actuelle dans les classes de Sciences physiques.
Ce dossier devra
donner lieu à une publication.
- Questionnaire
sur la situation
actuehe. 11 est actuellement
entre les mains des présidents
de section académique
et doit être
distribué
sous peu aux professeurs.
CONDITIONS
Problème

MATERIELLES
d?es

DANS

DIFFERENTS

effectifs.

Les échanges : il s?avère que :le nombre
de dédoublements
de classes
diminue,

l

l

COLLEGES.

de plus

de 24 élèves

le nombre
d?heures
dont disposent
les chefs d?établissements
pour effectuer ces dédoublements,
dans les disciplines
désignées
par la circulaire,
est insuffisant,

10

578
l

l

BULLETIN

DE L'UNION

DES PHYSICIENS

les regroupements
de classes pour
ou de 16 sont peu nombreux,
les participants
sont invités
chaque fois qu?une situation
Heure

de

constituer

des groupes

de 18

à se mettre en rapport
avec 1?U.d.P.
embarrassante
se présente.

décharge.

11 convient

de distinguer

:

a) l?heure due à tout professeur
de Sciences
tales donnant
au moins huit heures ?de cours dans
sement où il n?y a pas de personnel
de laboratoire,

expérimenun établis-

b) l?heure due au professeur
chargé du laboratoire.
- La tendance
générale
est à une diminution
des heures
allouées.
Dans certaines
académies,
l?heure
a été
P.E.G.C., dans une autre à tous les professeurs
de catégorie.
Installation

des

supprimée
aux
sans distinction

salles.

-

Le plus souvent, aucune installation
(eau, gaz, électricité)
n?est faite dans la ou les salles où ont lieu les séquences
de
Sciences physiques.
- Un projet d?installation
a même été refusé par un Rectorat.
Crédits.
Il est précisé a nouveau que la dotation
blissement
pour l?ensemble
des besoins.

REFLEXION

D?ORDRE

est faite

à l?éta-

PEDAGOGIQUE.

- L?atelier
premier
cycle des Journées
U.d.P. de l?année
précédente
ayant porté sur le cycle d?observation,
le choix se
porte sur le cycle d?orientation,
cette année.
- Plus précisément
sur un bilan après une année d?enseignement en classe de 4-.
Le programme

traité

dans

son

ensemble.

Un collègue signale qu?un tiers du programme
dans les établissements
qu?il connaît.

- L?ensemble
du groupe
gramme n?a pu être couverte.
On passe ensuite

à l?examen

confirme
des trois

que

la totalié

parties

n?a pu être
du pro-

du programme.

BULLETIN

DE

L?UNION

DES

579

PHYSICIENS

Electricité.

- Chacun
des difficultés
l

l

l

l

souligne
:

que

l?introduction

des notions

soulève

la nature électronique
du courant,
qui doit être suggérée
des images variées afin de ne pas être défigurée,
par contre,
aisément,

la notion

d?intensité

semble

se construire

la notion de tension donne l?occasion aux participants
des opinions
divergentes ; le problème
des analogies
est plus délicat,
la discussion
puissance.

n?a

pas porté

sur

les notions

par
plus

d?émettre
et images

d?énergie

ni de

On aborde
la question
de l?emploi
des appareils.
Chacun
trouve qu?un long apprentissage
est nécessaire. Ampèremètre
et
voltmètre
ou contrôleur
universel
: les choix sont différents,
souvent dictés par le matériel
disponible.
Plusieurs
participants
pensent
qu?il
serait souhaitable
de
connaître
le point de vue des professeurs
de seconde : quels
acquis pour les élèves au sujet de l?emploi
de ces appareils
à
l?entrée
du lycée ?
A ce propos,
l?animateur
rappelle
que l?enseignement
des
Sciences physiques
dans le ler cycle n?a pas pour finalité
de
préparer
à la classe de seconde mais de faire acquérir
à tous
les enfants un minimum
de savoir-faire
et de connaissances
à
propos du monde qui nous entoure. Ce qui implique
qu?il conviendrait d?inverser
le problème.
Ce sont les professeurs
du second
cycle qui devraient
s?informer
sur les acquis. De toute façon,
des rencontres
seraient
souhaitables
entre professeurs
des premier et second cycles, comme elles le seraient
au niveau du
passage d?enseignement
élémentaire
premier
cycle.

optique.
- De l?avis général, cette partie intéresse les élèves.
- Le matériel
nécessaire
à la réalisation
de nombreuses
manipulations
est en général disponible
dans les établissements,
car il est inutile d?avoir recours à un matériel
spécifique
tel le
banc d?optique.
- Il semble que le problème
des images virtuelles
soit abordé
de façons variées.
- Le modèle du rayon lumineux
perd du terrain
au profit
de l?observation
qualitative
plus conforme
aux instructions.

580

BULLETIN

DE L?UNION

DES

PHYSICIENS

- Le temps consacré
général long par opposition
souvent négligée.

à la partie purement
optique
est en
à celui qui reste pour l?astrophysique

- Certains
participants
de ne pas voir réinvestis
classe suivante.

signalent
les acquis

que
dans

les élèves regrettent
le programme
de la

Métaux.

- Des tendances diverses au sujet des propriétés
mécaniques
de métaux :
certains pensent qu?une étude de ces propriétés
intéresse
les
élèves surtout
si elle se fait en relation
avec des applications
pratiques,
d?autres la considèrent
comme un prétexte à préciser la différentiation
entre objet et substance.

l

l

-

L?étude des ions soulève des difficultés
de compréhension,
dues au nombre
d?ions que le programme

l

l

:
aborde.

En résumé,
- un programme
dont les secteurs sont intéressants
l?ensemble,
- chacun d?eux mériterait
un temps d?étude plus long
une meilleure
compréhension
des notions.

PRESENTATION
D?UNE
AVEC
L?UNIVERSITE.

EXPERIENCE

- Sujet : la masse volumique
de l?exposé des collègues.

~EDAGOGIQUE

EN

en 5me. Voici

dans
pour

RELATION

un bref

résumé

- Cheminement
recherché
:
caractériser
un objet par autre chose que les critères habituels,
. distinguer
une substance d?une autre par un critère particulier
lié à la masse et au volume de l?objet fait de cette substance.
l

- Présentation
et des problèmes

des manipulations
effectuées
auxquels
ils ont été confrontés.

- Conclusion
: de l?avis général, la notion
quantitative
dépassent
le niveau de la 5me.

l

Questions
posées
utilité
des ateliers

à l?ensemble
ler cycle,

par

les élèves

et son expression

des participants

à l?atelier

:

BULLETIN

DE

L?UNION

DES

581

PHYSICIENS

importance
de la durée consacrée à ces ateliers.
Il s?avère que, au moins tant que les programmes
du ler cycle
ne sont pas mis totalement
en place, il est utile de présenter
de
tels échanges et. que deux demi-journées
semblent
nécessaires.

l

n* 2 : ATELIER

Atelier

TECHNIQUE

1. INFORMATIONS.

- Horaires
et Terminale.

et programmes

identiques

en E et C en

1~

- A partir
de 1982, il y aura des travaux
pratiques
dans
toutes les classes de Ire et Terminale
F. Les modalités
et le
contenu sont à préciser;
1?U.d.P. est conviée par 1?I.G. à des réunions de travail qui auront lieu courant
novembre.
- L?1.G. annonce des stages de formation
?permanente
(1 ou
2 jours maximum),
au premier
trimestre
1981 pour les professeurs des sections Fi, Fz, F3. Le cas des autres sections sera envisagé ultérieurement.
- L?U.d.P. communique
: Publication
hors abonnement
: Sujets B.T.S. 1980.

d?un

numéro

spécial

- Les programmes
et commentaires
des programmes
F sont
désormais
publiés au C.N.D.P. au prix de 35 F. Des exemplaires
des commentaires
peuvent être consultés
auprès des correspondants techniques
académiques
dont les noms figureront
à l?avenir
dans le B.U.P.
- Possibilité
de se procurer
les anciens sujets de B.T.S. auprès du C.R.D.P. de Lyon. Une affiche paraîtra
à ce sujet dans
le Bulletin.

l

l

l

l

-

Résultats

-

Ont

partiels

répondu

de l?enquête

141/240

sur la section

5.

établissements.

- En essai et mesure,
l?élève travaille seul dans 3 % des classes,
l?élève travaille en binôme dans 57 % des classes,
l?élève travaille en trinôme
dans 36 % des classes,
l?élève travaille
par groupe > 4 dans 4 % des classes.
-

l

pour

l

pour

L?enseignement

est assuré :
? professeurs
de sciences
le cours
\ professeurs
de sciences
les essais et mesures : professeurs

physiques
appliquées
techniques

: 63 %,
: 37 % ;
: 54 %.

582

BULLETIN

DE

L?UNION

DES

PHYSICIENS

L?U.d.P. revendique
et soutient
la thèse de l?unité
pédagogique cours - TP. dans ces classes ; l?I.G. partage notre point de
vue mais nous a prévenu qu?il sera nécessaire
dans un premier
temps de passer par une période
transitoire,
les pourcentages
horaires pour chaque partie étant précisés dans le programme
81.
- Enquête F7 : biochimie
en cours.
II. THEMES
Formation

DE DISCUSSION.
initiale.

Les collègues pensent souhaitable
d?ouvrir
davantage la physique appliquée
en particulier
pour les professeurs
enseignant
en Fz, F3 et B.T.S. associés ; ils souhaiteraient
que l?E.N.S.E.T.
y
joue un rôle primordial
et regrettent
la suppression
des filières
physique générale, chimie et physique appliquée
dans cette école.
Formation

permanente.

Les professeurs
de physique
générale
estiment
en général
pouvoir assurer l?enseignement
à condition
qu?une formation
spécifique permanente
leur soit possible, dans le double but :
d?approfondir
leurs connaissances
dans des domaines
particuliers,
de se tenir au courant
de l?évolution
technologique.
l

l

Cette formation
permanente
et conjointement
de décharges
été émis :

nécessite l?existence
de stages
horaires.
Plusieurs
souhaits
ont

10 1?U.d.P. demande qu?un plus grand nombre
d?1.P.R.
spécialisent
dans l?enseignement
technique
afin de pouvoir
:
l

l

l

l

se

servir d?animateur
pédagogique
dans les lycées,
maintenir
l?actualité
des commentaires
de programmes
et assurer leur diffusion,
rédiger des fiches pédagogiques
spécifiques
au technique,
défendre
l?intérêt
de la Physique
techniques
industrielles
;

vis-à-vis

de l?inspection

des

2? des stages existent, organisés
par l?industrie,
certaines
chambres
de commerce
et d?industrie,
l?enseignement
supérieur.
La durée du stage y est souvent d?une semaine et se pose le
problème
de l?autorisation
d?absence. L?1.G. a confirmé
que rien
n?est prévu dans ce domaine
actuellement
;
lègues

3? évoquant
le problème
de la documentation,
les colregrettent
la pauvreté de l?édition
des livres scolaires des-

BULLETIN

DE L?UNION

DES

583

PHYSICIENS

tinés aux sections F. Ils émettent le vmu utopique
qu?un éditeur
qui assume l?édition
fort rentable
d?un livre de C ou D se voit
imposé la publication
moins rentable
de certains
livres de F.
Seconde

Les
concerne
la 3me.

commune.

professeurs
sont profondément
inquiets
en ce
les problèmes
d?orientation
des élèves au niveau

Ils demandent
instamment
qu?une
soit diffusée tant auprès des collègues
parents sur les faits suivants :

qui
de

information
très claire
du ler cycle que des

1? La Seconde commune
n?a de « commune >Dque le nom.
2 Certaines
sections FS, F6, F,, F7 bis nécessitent
obligatoirement
le choix de l?option
technologique
lourde (11 h).
3? S?il est désormais,
théoriquement
possible, à partir de
toute Seconde de faire par exemple une Ire C, il est par contre
impossible
de passer en 1~ F sans avoir suivi une option technologique;
fait regrettable
auquel on pourrait
remédier
en créant
quelques
classes passerelles.
4? Tous les établissements
ne dispenseront
pas toutes les
options
(en particulier
options
technologiques)
et l?orientation
dans un établissement
en 2de implique
déjà certaines
filières au
niveau de la 1~ et de la Terminale.

Atelier

n* 3 : PROBLEMES

Le groupe
était
n?aient pu s?exprimer.

l

l

l

DE LA SECONDE

nombreux

COMMUNE

et il est possible

que

certains

On a essayé de centrer
la discussion
sur 3 points : I
quels sont et que seront les élèves qui arriveront
en Seconde
après un enseignement
complet de Sciences physiques
dans le
l=r cycle ?
informations
sur ce que sera cette Seconde et questions
sur les
filières offertes après la Seconde,
problèmes
pédagogiques
posés par le brassage des élèves dans
les classes.

BILAN

DE

L?ENSEIGNEMENT

DANS

LE

PREMIER

CYCLE.

Les collègues qui n?enseignent
que dans le Second cycle ne
sont pas informés
en général
des programmes
(contenus
et
finalités).

584

BULLETIN

L?idéal

serait

DE

L?UNION

d?enseigner

DES

PHYSICIENS

dans les deux cycles.

On se demande
quels seront les acquis compte tenu de la
diversité
des méthodes
et des moyens. Sur quels acquis de méthode et de savoir-faire
peut-on compter si l?enseignement
expérimental ne peut être dispensé faute de moyens ?
niser

11 faudra prendre en compte ces acquis
au début de l?année de Seconde.

divers

et les harmo-

On souligne
d?autre part que les élèves ayant bénéficié d?un
enseignement
vraiment
expérimental
aiment la physique,
participent beaucoup
et auront un esprit différent
de celui des élèves
actuels. Il ne faudrait
pas décevoir ces élèves.
- Un travail
ultérieur
consistera
à chercher
sur quoi on
peut compter
en fin de 3me. 11 est fait appel aux professeurs
de
ler cycle pour donner
ces informations
sous la forme
: d?un
article d?information
dans le B.U.P., d?une enquête éventuelle
sur
le bilan du ler cycle (analogue
à l?enquête
de 6me, 5me) - (des
réponses sont souhaitées !) Il est conseillé de consulter les manuels
de premier
cycle.
Les élèves devraient
avoir
connaissances
étant donné leur
INFORMÀTIONS

SUR

LA

plutôt
faculté

des méthodes
rapide d?oubli.

que

des

SECONDE.

On donne la grille horaire
blème des Secondes techniques

de la Seconde commune.
se pose immédiatement.

Le pro-

La spécificité
du technique
ne permettra
pas de faire l?option
technologie
lourde
partout,
donc la Seconde ne sera pas vraiment commune.
Il semble plausible
pour un collègue que, dorénavant,
la Seconde technique
apparaisse
pour les parents
comme la seule
Seconde scientifique,
donc que beaucoup
de bons élèves y aillent
et qu?ensuite
ces mêmes élèves repartent
vers les Ire C ou D. Cela
aurait pour effet de déséquilibrer
les lycées techniques.
L?orientation
en fin de Seconde semble limitée
aura déjà une en fin de 3me ne serait-ce que par
lycées techniques,
classiques et L.E.P.
Le passage

n?est

ensuite

pas possible

dans

puisqu?il
le choix

y en
entre

les deux

sens.

On constate
donc que la particularité
du technique
est
conservée et qu?il faut se limiter
pour le moment
au cas des
lycées classiques
ou polyvalents
(comprenant
des G).

BULLETIN
PROBLEMES

DE L'UNION

585

DES PHYSICIENS

PEDAGOGIQUES.

La Seconde sera-t-elle
vraiment
commune ? Il semble que
beaucoup
d?établissements
s?orientent
vers un certain
tri des
élèves en groupes de niveau et même dans certains cas en filières
déguisées.
- Les élèves les moins motivés en Sciences ne risquent-ils
pas
d?être handicapés
par le brassage ?
- Le professeur
ne risque-t-il
pas de faire une pseudoSeconde C pour tous ?
Des questions
importantes
nécessitant
un travail
sont ensuite formulées
:
- Comment
peut-on
apporter
quelque
chose
élèves et quoi ?

plus appro-

fondi

à tous

nos

Par exemple : la dimension
historique
des Sciences, des analyses de textes permettant
une lecture critique
du journal
et des
émissions
de télévision ; une méthode
de raisonnement
expérimental applicable
à la vie quotidienne
(apprendre
qu?il y a des
limites dans l?usage des appareils).
Construction
d?un modèle (élaboration,
formulation,
utilisalimites).
- Comment
donner
une orientation
positive
en fin de Seconde en ne se contentant
pas d?utiliser
le classement
(les ler
en C, le milieu en D et le reste en A ou B).
- Faut-il viser un niveau d?arrivée différent
suivant les élèves
et comment ?
tion,

Il paraît utile de définir des objectifs
que l?on peut classer
en :
objectifs
à atteindre
par tous,
objectifs
plus particuliers
permettant
de déceler des qualités
différentes
(l?enquête
parue dans le B.U.P. no 622 pourrait
aider
à ce choix).
l

l

Pour contrôler
ces objectifs,
il faut déterminer
des moyens
de contrôle
ne privilégiant
pas uniquement
l?aptitude
au calcul
mais des qualités au moins aussi importantes.
Exemples
construction

l

l

étude
contrôle

l

l

prise

:
et utilisation

de textes

de graphiques,

et de documents,

expérimental,
en compte

d?un

projet

(en électronique).

BULLETIN

586

Ces contrôles,
tout
des Sciences physiques,
PROBLEMES

DE L'UNION

DES PHYSICIENS

en ne négligeant
pas l?aspect quantitatif
permettraient
d?éviter certains. blocages.

MATERIELS.

Tout cela ne peut être mis en ?uvre que si le contenu des
programmes
est limité
et si les effectifs des classes ne sont
pas trop grands.
- Des postes risquent
d?être supprimés
à cause de la diminution
de l?horaire
et cela inquiète
les collègues.
Un groupe de travail se constitue
et fait appel aux bonnes
volontés
pour des réunions
et surtout
des discussions
au sein
des établissements
et des académies.
Ateli*er

n* 4 : SUR

L?ENSEIGNEMENT

DE LA

PHYSIQUE

EN PREMIERE

Les participants
à cet atelier, au nombre
de 35 à 40 environ,
se sont tout d?abord
intéressés
à la place des programmes
de
Ire dans l?ensemble
des programmes
de physique
au lycée. Ils
trouvent
que l?obstacle
que les élèves doivent
franchir
au passage de Seconde en Première
est important
: d?expérimental,
l?enseignement
devient abstrait ; le programme
est beaucoup
plus
abondant.
Ces difficultés
sont plus ressenties
en 1~ D qu?en
1~ C. Qu?en sera-t-il lorsque
ces deux sections auront le même
programme
?
Pour ce qui concerne la partie Q Energie », le programme
a
été jugé très ambitieux.
La notion de travail
élémentaire
a des
difficultés
à s?imposer,
surtout si l?on introduit
très tôt le produit scalaire. Mais l?une des deux difficultés
essentielles
a rapport
à l?énergie potentielle.
Les élèves, qui disposent
du théorème
de
l?énergie
cinétique,
n?en voient pas la nécessité.
D?autre
part,
nous avons trop peu d?exemples
simples pour asseoir cette notion. Les élèves jouent alors avec un formalisme
dans lequel ils
s?égarent
la plupart
du temps. La seconde grande difficulté
est
la présentation
de l?énergie interne ; elle est à peu près du même
ordre que celle attachée
à l?énergie
potentielle
: difficultés
à
saisir le sens physique de cette grandeur
et recherche d?un refuge
dans les formules.
L?expression
« production
de chaleur n qui
figure au programme
a été jugée dangereuse ; il faut expliciter
cet échange d?énergie
à l?échelle
microscopique.
De toutes manières, les exemples
simples et parlant
sont peu variés et les
exercices deviennent
rapidement
difficiles.
Peu à dire sur la partie « champ électrique
» ; un souhait :
qu?une interprétation
simple et microscopique
soit donnée de la
loi de Joule ; un regret : que la convention
utilisée
pour la loi
d?ohm
pour un générateur
ne soit pas la même en Seconde et
en Première.
D?une manière plus générale, on souhaite un choix

BULLETIN

DE

L?UNION

DES

PHYSICIENS

587

clair et simple du formalisme
concernant
les normes,
valeurs
algébriques
ou absolues.
Le formalisme
mathématique
de la
norme est lourd ; à partir de là, chacun a ses propres notations,
quand il en a (voir les ouvrages scolaires).
Beaucoup
moins de difficultés
avec la partie ?« Vibrations
n.
La distinction
entre cours et T.P. disparaît
souvent. La plupart
des expériences
(cuve à ondes, échelle de Perroquet)
doivent être
présentées
à une demi-classe
pour pouvoir être vues convenablement. C?est une partie qui intéresse les élèves, mais que resterat-il, ensuite, de ces développements
qualitatifs
?
En conclusion,
on peut dire qu?il s?agit d?un enseignement
difficile mais intéressant.
Beaucoup
de professeurs
regrettent
les
développements
superficiels
et larges, au détriment
de l?approfondissement
de quelques notions simples. D?autres s?interrogent
sur la nature de ce que l?on continue
d?appeler
a travaux pratiques ». Il s?agit de plus en plus de l?étude de documents
préparés par le professeur
ou d?expériences
de cours exploitées
collectivement.
Nous aimerions
savoir si la conception
ancienne
de
manipulations
(au sens propre
du terme) est à bannir.
A-t-on
changé de conception
dans ce domaine ?

Atelier

no 5 : CHIMIE

EN PREMIERE

: 17 participants

Sur la partie chimie organique,
l?ensemble
des participants
préfère aux monographies
cette nouvelle présentation
des chaînes
carbonées,
cependant
certains
signalent
qu?il ne faut pas aller
trop vite. Pour les composés renfermant
de l?oxygène, des difficultés ont été rencontrées
dans l?étude expérimentale
de l?estérification et de l?hydrolyse
devant conduire
à la notion d?équilibre.
Les professeurs
enseignant
en D sont satisfaits
de l?introduction
de la liaison peptidique,
l?un d?eux a particulièrement
insisté sur
la collaboration
plus étroite qu?il a ainsi pu établir
avec le collègue enseignant
les sciences naturelles.
En conclusion,
une nette
impression
de progrès avec ce nouvel enseignement
de la chimie
organique.
Il est absolument
nécessaire que l?on puisse faire utiliser les modèles
moléculaires
en T.P., quelques
participants
signalent
une carence en matériel
à ce sujet. Un collègue pose le
problème
du maintien
de l?hydratation
de l?acétylène
dans le
programme,
il propose de remplacer
cette expérience
par l?oxydation de l?éthylène ; ce point de vue n?est pas partagé par les
autres participants,
la préparation
de l?acétylène
étant beaucoup
plus facile que celle de l?éthylène. Il semble d?autre part, qu?on ne
puisse passer sous silence l?existence
de chaînes carbonées
avec
une triple liaison carbone-carbone.

588

BULLETIN

DE L'UNION

DES PHYSICIENS

La deuxième partie du programme,
à l?unanimité,
a été jugée
satisfaisante
et, vu l?intérêt
des élèves, les professeurs
ont souvent débordé un peu les commentaires
du programme,
en introduisant par exemple dans l?étude expérimentale
le couple Iz/Iou en développant
un peu plus l?électrolyse
en solution
aqueuse.
La question
de l?introduction
de la normalité
est très discutée :
certains pensent qu?elle alourdit
inutilement
le cours, d?autres y
tiennent
beaucoup,
considérant
qu?elle est utilisée
dans l?enseignement
supérieur,
dans l?industrie,
dans l?étiquetage
commercial. Certains
suggèrent
que l?introduction
des nombres
d?oxydation
se fasse dans le cours « Passage du soufre à l?acide
sulfurique
».
Dans l?ensemble,
ce programme
de chimie n?est pas jugé infaisable si le professeur
respecte la répartition
horaire
entre la
physique et la chimie. La question
se pose cependant
du maintien de la métallurgie
au programme
si on ne veut pas que celuici soit trop lourd.

Compte
NOUVEAUX

MOYENS

rendu
DE

de

l?atelier

CONTROLE

no 6 :
DES

CONNAISSANCES

Par erreur, cet atelier avait été annoncé dans le Bulletin
deux titres :
- réflexions
sur de nouveaux
moyens de contrôle,
- contrôle
des connaissances
(second cycle).
L?atelier
réunissait
ce qui est bien court.

52 personnes

; sa durée

sous

a été de 2 heures,

L?essentiel
en a été la présentation
des travaux
du groupe
Chapham, comprenant
des membres des enseignements
supérieur
et secondaire
(privé et public).
Une partie de ces travaux a été
publiée dans le B.U.P. no 627 d?octobre
1980, pages 32 à 74 avec
des renseignements
complémentaires
pages 29 à 31. En particulier, il y est indiqué
où les fascicules
complets
de ces travaux
peuvent être obtenus moyennant
paiement ; leur nombre
en est
très limité. Deux exemplaires
de ces fascicules ont été envoyés à
chaque Président
de Section académique
auprès desquels vous
pourrez
les consulter.
-

Un exposé initial
de vingt minutes
a permis
de rappeler
:
les buts à atteindre
dans le cadre des nouveaux programmes
de Seconde, Première
et Terminale,
de définir les moyens de vérifier si les objectifs
sont atteints.

BULLETIN

DE L?UNION

DES

PHYSICIENS

589

En particulier,
il a été souligné que, quelle que soit la qualité
d?un programme,
son efficacité
ne peut se révéler que si les
moyens de contrôle
sont bien adaptés aux objectifs
proposés,
aussi bien tout au long de l?année qu?à l?examen.
La démarche
du groupe de travail Chapham
a été effectivement la définition
d?un certain nombre d?exercices cohérents avec
les nouveaux programmes.
La présentation
de quelques exemples
parmi ceux publiés dans le B.U.P. no 627 a permis de voir de
quelle façon il est possible de réaliser
cette ambition.
Pour la
définition
des différents
types d?exercices
:
- sur les méthodes et raisonnements
expérimentaux
(M.R.E.),
- sur les questions à réponses courtes (Q.R.C.),
- sur les lectures scientifiques,
- sur le problème
traditionnel
« amélioré »,
on se reportera
au B.U.P. no 627. Les exercices M.R.E. 3 et 16 ainsi
que l?exercice Q.R.C 3 ont été discutés par les participants,
jusqu?à la fin de l?atelier.
Bien évidemment,
les différents
types de contrôles
n?ont pas
été étudiés de façon exhaustive ; la forme des exercices proposés n?est d?ailleurs
pas figée et peut certainement
subir des
évolutions.
C?est pourquoi
il a été envisagé
travail sur le sujet en collaboration
de façon indépendante.

la formation
de groupes
avec le groupe Chapham

de
ou

Certains professeurs
se sont? proposés
pour donner
à leurs
élèves des exercices des types précédemment
définis pour les
expérimenter
et pour communiquer
leurs résultats
au groupe
Chapham.
MAURAS.

Compte

rendu

de

l?atelier

n*

7 :

LABORATOIRE

Il est difficile
de relater tout ce qui a été dit en 5 minutes
et c?est bien dommage
car les problèmes
abordés sont cruciaux ;
on peut noter cependant
qu?il s?est dégagé de cet atelier une profonde inquiétude,
qui s?est parfois transformée
en climat houleux.
1. QUESTION

DES

CREDITS.

Le nouveau texte paru au B.O. du 18-9-1980 concernant
I?élaboration
du budget des établissements
entraînera
probablement
une absorption
des crédits antérieurement
destinés à la physique
vers d?autres destinations,
et nous pouvons craindre
une diminu-

590

BULLETIN

tion
de crédits,
importante.
Que

faire

DE L?UNION

même

si

DES

PHYSICIENS

l?enveloppe

globale

semble

plus

?

- Demandez
auprès de l?intendance
que soient prévues au
budget tant pour le ler cycle que pour le 2me cycle :
* au poste 6330 (Fournitures
d?enseignement
et matière
d??uvre), une somme équivalente
au crédit de fonctionnement
;
* au poste 6341 (Complément
et Renouvellement
de matériel et de mobilier),
une somme équivalente
au crédit antérieur
du C. E. M. S. (à déterminer
en faisant
des recherches
à l?intendance !)
- Provoquez
une réunion
interdisciplinaire
(si elle n?existe
pas) pour la repartition
de chacun des postes. (Négociation
avec
le Chef de Travaux
dans l?enseignement
technique).
Il est souhaitable
d?arriver
à un
des autres matières, mais il apparaît
seront inévitables
et que le nouveau
les enseignants.
- Il semble nécessaire
que les
tés au Conseil d?Etablissement,
ce qui
au préalable,
avec l?intendant
ce qui,
En conclusion,
favorable.
2. QUESTIONS

DU

vous

devez

accord avec les collègues
clairement
que les tensions
texte ne . peut que diviser
physiciens
soient représenn?empêche
pas de discuter,
paraît-il,
est plus efficace.

préparer

un

rapport

de forces

MATERIEL.

Le C.E.M.S. doit être remplacé,
au ler janvier
1981, par une
nouvelle structure
formée de deux organismes
: Le bureau DL 9 b,
de la Direction
des Lycées, qui définira, en liaison avec des commissions
techniques
formées
de professeurs,
les spécifications
techniques
des appareils
à acquérir,
et 1?U.G.A.P. qui se chargera
des achats chez les fournisseurs
et des livraisons
aux établissements. Il n?y aura plus d?attributions
gratuites.
Nous attendons
de voir ce qui va se passer pour porter un jugement
sur cette
nouvelle organisation
(1).

(1) N.D.L.R. : Ces modifications

n?empêchent

tions
ponctuelles
engagées
par le C.E.M.S.,
telles
tuite
d?oscilloscopes
aux Lycées pour
les nouveaux
poursuivies
jusqu?à
leur terme.
Nous
continuent
le poids

rappelons
notre
à être présidées
nécessaire.

demande,
par LUI

que les
Inspecteur

pas certaines
que l?attribution
programmes,

opéragrad?être

commissions
techniques
Général,
afin de garder

BULLETIN

3. QUESTION

DU

DE L?UNION

PERSONNEL

DE

DES

591

PHYSICIENS

LABORATOIRE.

- Le problème
des professeurs
attachés au laboratoire
a été
longuement
évoqué mais il s?agit, hélas, d?une situation
très
particulière.
- Cette année, il n?y a eu que 12 créations
de postes d?aides
de laboratoire,
alors que 80 % des établissements
du. ler cycle
n?en ont pas.
Il est clair qu?il faut davantage
de postes avec également
une meilleure
qualification
(ce qui permettra
un meilleur
entretien du matériel
et une meilleure
rémunération
des agents).
-

Actuellement,
nous avons :
des Travaux pratiques
qui se dégradent,
des Parents qui s?en foutent...,
un Ministère
qui refuse toute discussion.

Il faut remarquer
qu?il n?y a pas de normes officielles
propos (seul un texte de 1937 recommande
une personne
trois professeurs).

à ce
pour

Là encore, nous pouvons être inquiets.
Ne va-t-on pas nous
opposer comme argument
le fait que les collègues
du premier
cycle manipulent
avec des classes de 24, ... 28, voire 30 élèves ?
La situation
que nous avons laissé s?instaurer
dans le premier cycle, sera bientôt
celle du deuxième
cycle. Dans quelques
» du deuxième
cycle sur
années, nous risquons
un « alignement
le premier.
4. QUESTION

DES

HEURES

DE LABORATOIRE.

Cette heure est attribuée
suivant des normes très vagues, ce
n?est pas une obligation.
Or, le professeur
chargé du laboratoire,
s?il n?a en principe
que deux fonctions
(il est le supérieur
du
personnel
de laboratoire
et il gère les crédits) a, en fait, souvent
beaucoup
d?autres
tâches. Et depuis quelque
temps, l?heure qui
était attribuée
est parfois
réduite
à une demi-heure
ou même
complètement
supprimée.
Dans ce cas, on peut toujours
refuser
de faire un travail pour lequel on n?est pas rémunéré.
Là encore,
embarrassantes,
Nous

devons

le Ministère
et ne reçoit
donc

nous

acquis, et qui est gravement

ne s?engage pas avec des normes
pas 1?U.d.P. pour en discuter.
battre pour
menacé.

conserver

ce qui

était

592

BULLETIN

MOTION

DE

L?UNION

DES

PHYSICIENS

ADOPTEE
PAR LES PARTICIPANTS
A L?ATELIER
N? 7

L?aspect expérimental
des Sciences physiques est fondamental
dans notre monde actuel. Or, nous assistons depuis quelque temps
à une dégradation
constante
de notre enseignement
dans le ler
et le 2me cycle en ce qui concerne
:
-

les conditions
de travail,
le manque de personnel
de laboratoire,

-

les heures

de décharge.

Cette dégradation
s?accompagne
de grandes
craintes
en ce
qui concerne les crédits de fonctionnement
et d?achat de matériel.
Le groupe « Laboratoire
» propose, avec l?aide de l?U.d.P., une
campagne
d?information
à tous niveaux
pour répondre
à certaines critiques
(par exemple un tract rédigé par 1?U.d.P.) et distribué le même jour à tous les journaux,
tous les élèves, etc.
I
Il souhaite
également
qu?un certain
nombre
de solutions
soient prises en ce qui concerne
:
-

le matériel,
le recrutement

-

la création
d?un nombre
d?heures
de décharge
pour chaque
laboratoire,
ce nombre
d?heures devant être proportionnel
au
nombre
d?heures
enseignées
et réparti
sur un ou plusieurs
postes.

En résumé,

et la qualification

nous
définisse

du personnel,

demandons

-

que 1?U.d.P.

-

que 1?Ud.P. assure la diffusion
national
et à l?échelon local.

une

:

position

claire,
d?un

texte

à l?échelon

818

LES

BULLETIN

RETOMBEES

DE

L?UNION

GASTRONOMIQUES
[Novembre

Bonne

DES

PHYSICIENS

DES

JOURNEES

DE

RENNES

1980)

pâte.

Lors d?un
un restaurateur

_

-

---

récent congrès de physiciens
organisé
reçut la commande
de 400 douzaines

Flairant
la blague,
sources, avant de mettre

il prit ses renseignements
la main à Ia pâte.

à Rennes,
de crêpes.
à diverses

Réaction
judicieuse.
Supposez
qu?il se fût agi d?un canular.
Avec 4 800 crêpes sur les bras, il pouvait
faire le deuil de son
défraiement.
Dessin et Texte publiés

dans OUEST

FRANCE.