Aix-en-Provence (1978)


Aix-en-Provence (1978) Tout sur le congrès

LE LIVRET DU CONGRESSISTE
? Activités du vendredi 27 octobre 1978 ..................................................................................5
? Activités du samedi 28 octobre 1978 .....................................................................................6
? Activités du dimanche 29 octobre 1978 .................................................................................7
? Activités du lundi 30 octobre 1978 ........................................................................................8
? Information ..........................................................................................................................9
? Soirée musicale ...................................................................................................................10
? Les exposants ......................................................................................................................11
? Plan ....................................................................................................................................19
? Liste des participants
? Les Baux-de-Provence : Shell ...........................................................................................25
? Arles : SNIAS (Société nationale industrielle aérospatiale).................................................26
? Arles : Solmer ..................................................................................................................27
? Le Lubéron : Cadarache ...................................................................................................28
? Le Lubéron : Saint-Michel-l?Observatoire ........................................................................29
? Marseille : SESCOSEM ...................................................................................................30
? Les Embiez : Observatoire de la mer ................................................................................31
? Les Calanques : COMEX (Compagnie maritime d?expertise) ...........................................32

LA PARUTION DANS LE BUP
Journées d?Aix-en-Provence
? Débat pédagogique (premier cycle) : exposés d?introduction ................................................33

PR OGRAfv1ME
VENDREDI
27 OCTOBR1978
E

de 7 H. à 12 H.

Accueil à la gare S.N.C.F. d'Aix-en-Provence.

14 H.

Ouverture des Journées par Monsieur le Recteur
del 'Académie d'Aix-Marseille.

15 H.

Conférence de Monsieur GIJl.COMO,
Directeur du Bureau International des Poids & Mesures
"Métrologie de haute exactitude 11?
Montages et discussion sur des questions se rapportant
au programmede Premier Cycle.

17 H.

Visite del 'exposition dans les locaux de la Faculté des Lettres.
Réunion des groupes.

19 H.

Réception par les Autorités Municipales à la Salle des Fêtes,
Boulevard Carnot (entrée par le parking).

§§

§§

§§

SAMEDI28 OCTOBRE
1978

9 H.

Conférence de Monsieur VINCENT,
Professeur à la Faculté
des Sciences et Techniques à Marseille:
"Parspectives nouvelles sur les méthodes spectroscopiques
en Chirnie
11 ?

Montageet discussion sur des questions se rapportant
a.u programmede Pn-:mier Cycle.
11 P.. à 15 H.

Visite del 'exposHion de matériel et livres scolaires.
Repas et réunion des groupes.

15 H.

Débat pédagogique sur l 1 enseignement des Sciences Physiques
en 5ème sous la présidence de Monsieur 1'Inpe~teur général BURIE.

18 H.

Visite d2 l'exposition.

21 H.

Soirée musicale a la Salle des Fêtes, boulevard Carnot.
Polyphonia antiqua et Ensemble vocal des Universités d'Aixen-Provence.

§§

§§

Réunion des groupes.

DIMANCH29
E OCTOBRE
1978

9 H.

Conférence de Monsieur CRUVELLIER,
sous-Directeur du
Laboratoire d'Astronomie Spatiale de Marseille :
"Mesures photométriques et spectrométriques bidimensionnelles
des sources lumineuses de très faibles intensité".
Montages et discussion sur des questions se rapportant au
programmede Premier Cycle.

11 H.

Après-midi

Repas et réunion des groupes

Activités libres.
Le Comité d'organisation du Congrés et 1 'Office du Tourisme
vous proposent des activités. Se renseigner auprès du
Secrétariat dès le vendredi 27 octobre.

§§

§§

§§

LUNDI30 OCTOBRE
1978

g H.

Conférence de Monsieur PAILLE,Professeur à l'Ecole
Nationale Supérieure de Physique :
.lkquisition et traiternent automatique des mesures
des grandeurs physiques".
11

Montages et discussion se rapportant au programme
du Premier Cycle.
11 H. à 15 H.
15 H.

Repas et r~union des groupes
Débat pédagogique sur 1 'enseignement des Sciences physiques
en 1ère, sous la prés?Jdence de Monsieur l 'Inspecteur

général BURIE.
20 H 30.

Banquet de clôture et soirée dansante.

§§

§§

Horaire

des Cultes

d.ominicàmc

à Aix .:en Provenc~

;

:
1° .Culte Israélite
( para11è le à. ?PAv.enue <:les Be lge:s,
Synagogue 3 rue Mont perrin
7. h et . 18 h 30
Vendredi
)
coté de la Poste Centrale
16 h 30
8 h .15 et
Same4i

2° Cultes Protestants:
( en bas du cours
4 rue Villars
Eglise Réformée d.ê France
en mo~tant ) Dimanche. 10 h 30
beau, à droite

à.

Mira-.

? 8 ru~ de la Masse (en bas d11 cours
Eglise Réformée Evangélique
Mirabeau , à gauche en montant ) D1.mâ:n]che 1O h 30

,3° Culte

Ca.tiloli9.ue:

le dimanche
céléb:réel:l .le samedi soir,
.d'A:lx en Proven.ce ,
églises
matin et soir d$.ns lès diffêfente.s.
des côn?
spéciale
une messe s:era célébr.ée à 1 1 intention
Toutefois
lè :Pimanche 29 Octob:rê à 19 heures. en la
qu:i,. .le désirèraient
gressiste.s
, 10 rue de la Fourà.ne ( de.scendre èl.fÂv:enùe Robert
Chapelle N.D. de l'Arc
tourner .à droite
feu tricolore,
jusqu?~u
le con.gris,
Schuman, où. se tient
de?là Fourane,
mètrès laru~
poursuivre100
vers la routé.de Marseille,
de la Chapelle est à gauche en face de la.rue de l'Ârc)
l'entrée.
De noml;>reu§es messes sont

?

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~-~~~/
1
CHANSONS
ET DANSESVE LA RENAISSANCEFRANCAISE l
1
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~/1
pwi l' Enoemble. de. mu;.,ique. anue.nne. d 'Afx-e.n-PJz.ovenc.e
"POLYPHO!JIAANTIQUA"
VJ..Jr. :

Yve,6

ESQUIEU

e;t l'e.noemb.le voc.al de,5 Uruve.111:,);te,5
d'Afx-en-PJz.ovenc.e

V-UL. : Je.an-Paul \,1onELLER

L 'e.noemble Pol!fphonJ.,a Antlqua pcJitiupe
active1ne.n;t au Jz.enouve.audu
Chefi-6-d'oruv1u,_de. la mw.iique.,aflr1_y,,,t du bwubadoutU, au. 16ème.l.),tècte. Son
,'1.épelitol.Ae.c.ompJz.e.nd
auJ.i-0i bie.n de,5 o e_u.vfl.U pufl.emen.tiM.tJw.me.nta.lu, danou
e;t tantcwiu,

que. du

pièc.u

mêlant voix e;t iM,tJwme.nto.
La fiofl.ma;Uon c.ompJz.e_nd
-6ep:t in/2.:6'1.wnen;U/2tUjouant de.-0cl[veN., iM.tltumento
anue.M :
. Ctwmo11,nu
,
Flû:te1.:,à. 1Jec,
Cha,ùJY1,te.,
1

. Viole. de gambe.,
. Ofl.gue po6,é;tJ,6,
. V.lète. à a/tc.he;t,
e;t. de:, c.ho_n;t.e.u..1-0
.i_n;tvwe.nant e.n .ooLu:tu

ou en c.hoeLIJL
de. c.hambJz.e,
1.>e.R.on

t' habil.LLde.anci..e.nJie..
L'e.Me1nb.le voc.al du

1.Lruve.Milù

d'Afx

e,o:t.une êmanaUon du

c..hoeLIJL'->

uruve.111:,,UabLude. .ta vj_Ue.. Ce gJtoupe. vient de 1.>eCJtéeJz.e;t -6 'adonne à .ta·
mu6ique anc.ie.nne ou Jiêc.ente_é,c.Jt,Üe powi de pe:tl:t./2 en-6emb.te1.,.Elie. appotlte.Jz.a,
en c.oliaboJz.a.tion avec. Po-typhon.la An;t,i,qua, 1.>ac..ontJc,,[bu.,üon
au. c.onc.e.Jz.:t.
'->OUI.>.ta
oOJrmede c.hanl.>OMga,i,e,o -e;t un peu lu.tu-

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SCIENTIFIQUE
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93002 BOBIGNY

Courtaboeuf

§§
§§

§§

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NOUVEAUTES
1er CYCLE.
Collection
Avec C.E.D.I.S.,
le plaisir
d'expérimenter

l'

C.E.D.I.S.
enfant découvre
et l'envie
d'apprendre

Chaque activité
propose essentiellement
des notions,
des méthodes,
et des techniques,
des possibilités
de mesurer ses progrès par des
bilans.
Les exercices
d'évaluation
permettent
au professeur
d'adapter
son enseignement
aux rythmes de sa classe.
PHYSIQUE - CHIMIE 6e
C.Corouge, N.Delsarte,

? Livre
? Livre

J.L.Marazzani

de l'élève
du maître

20,20
17,40

PHYSIQUE - CHIMIE Se
N.Delsarte,
J.L.Marazzani
Livre
. Livre

?

de l'élève
du maître

NOUVEAUTES2e CYCLE

Rentrée

1

SCIENCES PHYSIQUES SECONDE
Collection
A. CROS
Trois

ouvrages conformes aux nouveaux programmes
applicables
à la rentrée
1978

INITIATION A LA CHIMIE MODERNE
A.Cros, C,Moreau, L.et B.Praud

2e A.C.T.

? Présentation
moderne de la structure
de la matière
? Présentation
expérimental~·des
propriétés
de la matière
réactions
chimiques .
? Exercices
d'applications
variés
dont les solutions
sont
à la fin du livre.
LES FONDEMENTS
DE LA PHYSIQUE
A.Cros, R.Charlot,
C.Walt~r

et des
regroupées

2e C.T.

? Nombreux documents permettant
l'étude
quantitative
de la
mécanique sans frottement .
? Différents
types d'exercices
: exercices
expérimentaux
faisant
appel à l'observation
et à la réflexion,
exercices
d'application
immédiate.
PHYSIQUE
A.Cros, R.Charlot,

C.Walter

2e A.

? Exercices
choisis
pour correspondre
aux connaissances
moins
approfondies
en mathématiques
des élèves de cette section .
? Nombreux montages proposés aux élèves
, qui nécessitent
peu
de matériel.

20,00
1978

AUDIOVISUEL
ETSCIENCES
PHYSIQUES
COMPLÉTEZ
LE QUESTIONNAIRE
CI-DESSOUS
EN LE DÉPOSANT
AU STANDJEULIN, UN CADEAUVOUSSERA REMIS,
0 -

1°)

0-

0

Etcs-1, 0:,w favorable; à l'utilisation
d'aides
visuelles
( cochez la case co::-·respondant à votre réponse)
1

2°) Si oui, Pourquoi?
( classez
ces cr-z'.tères par ordre

en Physique?
non

( 1, 2, 3 ... )

âe préférence

- la mémorisation
visuelle
est meilleure
- vous pouvez montrer
des choses
difficilement
réalisables
en cours
(expériences,
réalisations
industrielles,
schémas
compliqués
... )
- c'est
un moyen d'information
moderne
- cela remplace
la visite
d'usines
- cela vous fait
gagner
du temps en cours
- cela
intéresse
vos élèves
- c'est
un complèment
du cours
normal

Etes-vous

partisan

âe la pr?0Ject1:on d'expériences

?
OUl

- A l'aide
- réalisables
A coussin

de films
en cours
: électrolyse,
mini table
d'air,
cuve A ondes,
spectres
...

3°) Si Non, Pourquoi ?
( classez
ces critères
-

par ordre

de préférence

cela distrait
les élèves
la physique
est essentiellement
expérimentale
manque de matériel
dans l'établi8sement
accessibilité
et
transport
difficile
des
dans l'établissement
manque de temps
Il n'y a pas assez
de bons documents
cela coûte
cher
mieux vaut acheter
du matériel
expérimental
A1,tres o½j ections
: _____________
---------

( 1, 2, 3 ... )

appareils

non

Souvent
- des fi.lms super
8
(êle~t=onique,
nuclêaire)
- des diapositives
(êlcctronique)
- des transparents
- du matériel
de projection
5 °J CZ-assez cer;

moyen..; rcr

f----

quelquefois!

__ ·-

jamais

~-----~~-

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---,

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on.fr.s ('e préf,fr,-,~ice ( 1., 2., 3, -~i)

diapositives

Exp6riences

Films

D
D

projetables
transparents

6°)

Nous vous pr'oposons une r?éduction de 10 % sw toute commande dA
films., tr?1.spar>ents ou diapos (Sciences Physiques) passée au
stand JEULIN pandant c·es joz.?nées U. D. P.

7°)

il·om
1

éto.blis.sement

: _______________

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Rue ____ _
Ville:

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Nous vo,.ts reme1sc:ions de bien vouloir
e/u, 3e.r c:e q:,1.c.s
t,inVln:dre
,J.1, ~.-~c:nd

JEULIN.

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INS~ALLATION ..

'

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ET EQUIPEMENT
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DE VOS LABORATOIRES
PAILLASSES

MATÉRIEL

AUDIOVISUEL

Physique
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les exercices Vuibert
avec solutions
sciences physiques

'·au~~
e#~

et

fuJ«'t,tuétwu

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7

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L'ÉDUCATION.

sciences physiques

(10-13 ans) - 5 titres.

? thèmes

physique

(à partir de 12 ans) - 12 titres .

*

l'épreuve de ....

corrigée

et commentée
? l'épreuve de physique. Bacc.C,E
? l'épreuve de physique. Bacc.D,D'
«He~de~

de (a d444e«e2e

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au~da44e4~,
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les thèmes Vuibert

(Ut

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LES OUVRAGES

VUIBERT

SONT

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CHEZ

VOTRE

LIBRAIRE.

__

PHYSIQUE ? Classe de seconde
par Michel BECQUELIN, Inspecteur Péda
gogique régionale,
Thérèse BECQUELIN, professeur au
Lycée Chateaubriand de Rennes,
Victor DANAIRE, professeur au Lycé
e Chateaubriand de Rennes.
Conforme aux nouveaux programmes,
applicables en seconde
à partir de l'année scolaire 78-79.

lé':°~'4 ~-

~

?.cf:;/

Cet ouvrage fait largement appel à l'expé
rimentation : expérimentation du professeur ou expérimentation personnelle
de l'élève. Il jalonne les voies à explorer;
il éclaire et ordonne les résultats et conc
lusions essentiels.
L'étude théorique. aussi légère que poss
ible, compte tenu de l'horaire de la
classe de Seconde, est complétée par
des exercices nombreux, concrets et
gradués.
Ces exercices d'une grande. diversité,
permettent à chacun de s'exercer s_uil(
ant
ses goûts et ses aptitudes :
? expériences faciles à ,éaliser ou exerc
ices simples faisant plus appel aux
qualités de réflexion qu'à la dextérité math
ématique ;
? exercices permettant un entraînement
plus substantiel ;
? exercices constituant une mise au point
ou un approfondissement.

·~1 -'i?~
''"i

-·d

.

160 pages env, format 17,5 x 26,5, broch
é ............. ........

8otdo5___

Parution 15 juillet.

Relations Scolaires et Universitaires
37, rue boulard 75680 Paris Cédex 14 -----

n

scnences
physiques
Collection LACOURT-CHIROUZE
- cette collection fait la synthèse de l'essentiel
-.l'accent est mis sur les points dominants des connaissances exigées
d'un élève de 6e ou de 5e
- la présentation est claire et le maniement aisé
- tous les exemples proposés sont pris dans la vie quotidienne

Classede 68 Classede 58
? Livre de l'élève
? Cahier de laboratoire
?Guide pédagogique

? Livre de l'élève
? Cahier de laboratoire
.corrigé du cahier de
laboratoire
?Guide pédagogique

Collection LACOURT
- une démarche simple et concrète qui suit de près les commentaires
du programme
- des expériences choisies en raison de leur simplicité
- un grand nombre d'activités personnelles et de montages _quipeuvent
être réalisés en fonction des possibilités matériel/es de chacun
- de très nombreux exercices
- un index alphabétique en fin de volume

Classede 2e Cet T, 2e A
? Deux manuels : - Seconde C et T - Seconde A
? Fiches de recherche et documents
? Livre du professeur

annandcolin

classede~

8
7
9
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s
y
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urxog
Nouveap

Collection

EURIN

·Dictionnaire
G.R.E.P.

, Gro~pe de Recherche pour
e.
I Ense!gne,:n~nt de la physiqu
Univers,te de Grenoble.

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I-ILJr'UL.l

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Journées d'Aix-en-Provence
(27 au 31 octobre 1978)
1. DEBAT PEDAGOGIQUE (PREMIER CYCLE) :
EXPOSES D'INTRODUCTION
LE POIDS ET LA MASSE

à propos des nouveaux programmes de sixième

Pour le physicien, il existe cinq indices qui sont liés d'une
manière ou d'une autre à la quantite de la matière. Il est intéressant et même essentiel pour le pédagogue de savoir ce que
ces indices représentent pour l'enfant.
Le volume.

Pour une même substance, il est proportionnel à la quantité
de matière à condition qu'on ait affaire à des états condensés
et qu'on n'ait pas de fortes pressions extérieures. Pour l'enfant,
à partir de 7 ans, le volume est indistinct de la quantité de
matière lorsqu'on a des formes simples (cylindres, parallélépipèdes, etc.) et, par conséquent, il se conserve dans les changements de forme. Mais dans le cas général (formes quelconques),
lorsque le volume ne peut être appréhendé que par immersion
dans un liquide, la notion de volume comme quantité constante
n'est nullement évidente jusqu'à 11-12 ans (comme le rappellent
les commentaires des nouveaux programmes de 6me). Quand on
considère des substances différentes, d'autre part, les enfants distinguent très tôt le volume et la quantité de-matière. Lorsque la
substance est de faible masse volumique, ils parlent de matière
poreuse ou « moins serrée B.
Le poids.

Pour le physicien, il est proportionnel à la quantité de matière,
pourvu que les déterminations se fassent en un même lieu. Dans
ces conditions, la comparaison des poids est équivalente à celles
des quantités de matière. Pour l'enfant, la notion de poids est
fondamentale et fortement « prégnante » au point de vue psychologique. Elle est liée non seulement à la perception (c'està-dire au volume) mais aux actions de soulever, déplacer, soupe-

ser, etc. Il se constitue très tôt un concept formé par intériorisadonc impliqué par toute la construction
tion des actions (PIAGET),
structurale du système cognitif. Dans la construction didactique
de la quantification de la matière, il faut évidemment partir du
poids car, de toute façon, ce qu'on dira, sous quelque vocable
que ce soit, sera spontanément rapporté par l'enfant à ce qui
est pour fui la notion de poids.
Par ailleurs, la conservation du poids lors des changements
de forme ou de fractionnement n'est affirmée par l'enfant que
deux ans (en moyenne) plus tard que la conservation de la
quantité de matière.
La masse de pesanteur [ou de gravitation].

C'est le facteur qui, dans le poids, ne dépend que du corps
(et non du lieu). Pour l'enfant la masse, comme quantité, est
tout à fait indistincte du poids. Ici, nous rencontrons la difficulté majeure, difficulté qui dépasse de beaucoup la question du
vocabulaire à laquelle on peut trop souvent la ramener (parler
de masse volumique, de boîte de masse, au lieu de poids volumique, de boîte de poids). C'est en fait la question de savoir si,
et à quel âge, l'enfant a « dans la tête » un seul concept, ou
deux concepts maniés différemment et jouant des rôles différents.
La masse d'inertie [ou masse dynamique).

-+
-+
+
C'est le facteur qui figure dans la loi F = rnr ou Y =

5

-.

m
C'est une notion qui a été très longue à élaborer correctement
dans l'histoire des sciences au XVIIme siècle. C'est cependant
une notion accessible à l'enfant, tout au moins à partir de
13- 14 ans Nous avons pu le constater dans une recherche sur
l'initiative à la dynamique en Quatrième. Pour la plupart, les
enfants de cet âge disent spontanément que lorsqu'un train démarre sous l'action d'une locomotive, « il prend plus vite sa
vitesse a quand il est vide que quand il est plein. Bien entendu,
la masse d'inertie est alors considérée comme une propriété
dynamique de la masse, de pesanteur, les deux concepts ne sont
pas distingués.
Enfin, nous trouvons encore dans le vocabulaire officiel
moderne la « quantité de matière » au sens noble, qui est mesurée en « moles » et se rapporte au modèle mol&ulaire de la
matière, dont nous ne parlerons pas ici.
Avant d'aborder, du point de vue didactique, la question centrale des rapports entre ces différents concepts, il faut faire une
remarque fondamentale.

Les physiciens ont tendance à considérer que les objets de
leur science sont, dans leur essence même, des grandeurs reliées
par des formules mathématiques. C'est le principe de toute
modélisation en physique. Cela nécessite, pour chaque concept,
une définition opérationnelle mettant l'accent sur les procédés de
wzesure de la grandeur. Et là se trouve, à mon avis, la principale
difficulté dans le problème du poids et de la masse. Car dans
cette optique, comme on définit la mesure des masses par une
procédure de comparaison des poids, et comme on constitue le
concept même de masse par cette mesure, le poids et la masse
se trouvent inextricablement mêlés, comme le soulignent très pertinemment les commentaires de programmes : « En fait, dans
les collèges, les appareils de mesure de la masse répondent à
l'action du poids », ce qui donne l'occasion d'une mise en garde
aux enseignants contre les excès de pédantisme et de purisme
de vocabulaire.
Mais il convient de bien se rendre compte de ce que, dans
le développement cognitif spontané de l'enfant, ce n'est pas le
quantitatif, encore moins la mesure, qui fait surgir le concept
tout bardé de mathématique. La notion émerge d'abord comme
notion qzralitative, reliée aux autres notions qualitatives par des
rapports - et d'abord des différences - de type logique.

-

A cet égard, il me paraît absolument primordial
et cette
idée est absente des prescriptions du programme - de souligner
fortement les différences qualitatives qui font du poids et de la
masse deux concepts physiques de nature opposée, et ceci d'autant plus que cette opposition apparaît sur le plan cognitif et
est parfaitement compréhensible pour l'enfant.

La masse est purement et simplement la quantité de matière.
Elle exprime combien il y a de matière dans un morceau. Le
poids, par contre, est essentiellement une action (si on ne veut
pas prononcer le mot de force). A cet égard, il est saisi comme
une transposition sur les objets des schèmes d'action du sujet,
comme une attribution aux objets des
ou comme le dit PIAGET,
capacités d'action du sujet.
A ce point, toute une série de questions se posent pour le
poids qui n'ont aucun sens relativement à la masse.

Le poids-action est-il subi par le corps ou exercé par lui ? Le
corps pesant est-il ressenti comme agent ou comme patient?
D'où la question : l'enfant peut-il comprendre les affirmations
selon lesquelles le poids est une attraction à distance par la
Terre ? Ne considère-t-il pas plutôt, comme l'ont fait tous les
penseurs antérieurs au XVIIme siècle, que le poids est inhérent
au corps, avec peut-être l'arrière-pensée animiste que le corps
pesant « tend >,vers le bas parce qu'il veut tomber ?

En tout cas, il est très important de faire comprendre - ce
qui n'est pas évident - que le poids dote le corps pesant du
pouvoir d'exercer des actions, de tirer sur un fil à plomb, sur
l'extrémité d'un levier, etc. D'où l'idée de la transmission de
proche en proche de ces actions, l'idée aussi qu'une telle action
s'exerce sur un ou plusieurs « points d'application ». Ce problème peut servir de base à une analyse schématisante de la
balance, mettant en évidence le rôle des couteaux extrêmes et
permettant de schématiser la balance par un fléau muni de trois
couteaux.
Le poids-action a, comme toute action, des effets, même dan<
le cas particulier où ces effets sont neutralisés par d'autres
effets ; cette idée des effets du poids est nécessaire à l'analyse des
systèmes cités par le programme, dont il me paraît incorrect de
définir la fonction en disant qu'ils comparent des masses, car
ils sont tout autant le champ des actions des poids. Cela concerne
le pèse-bébé, le pèse-lettre, la balance romaine, mais s'il s'agit des
actions des poids, alors il faut aussi parler - et sur le même
plan - de l'allongement du ressort à boudin qui, du reste, peut
tout autant servir à comparer des masses !
Passons maintenant au point de vue des définitions quantitatives, qui devraient didactiquemeni se greffer sur les considérations qualitatives que nous venons de rappeler. S'il est parfaitement légitime, pour le physicien, de constituer le poids comme
une notion dérivée, formé à partir de deux facteurs jugés plus
fondamentaux, la masse et la gravité : P = mg ; par contre, dans
la construction d'un enseignement il faut, avant tout, se demander ce qui est premier, ce qui est élémentaire, ce qui est fondamental pour l'enfant
Ainsi, on avait tout naturellement pensé qu'il était légitime
définir la vitesse d'un mouvement (uniforme) par le quotient
= Ilt, parce que la distance 1 et la durée t nous paraissent
à juste titre des concepts premiers, des concepts de base dans
la représentation du mouvement. Jusqu'au jour où PIAGET
a montré que la notion de vitesse plus ou moins grande apparait chez
l'enfant plus tôt que celle de temps, à partir de considérations
sur le rattrapage et le dépassement des véhicules, si bien que c'est
génétiquement le temps qui se constitue par coordination de la
distance et de la vitesse.

Y aurait-il une inversion semblable à opérer sur la hiérarchie entre poids et masse, et devrait-on remplacer la notion de
définition p = mg par m = p/g, ceci s'étendant aussi aux formes
plus frustes de la relation auxquelles on se restreint en sixième ?
Ici, je crois qu'il faut répondre de façon nuancée et distinguer
le point de vue qualitatif de la conservation et le point de vue
quantitatif de la définition de grandeur.

Comme nous l'avons vu la masse, en tant que caractéristique
d'un morceau de matière, est saisie très tôt et fondamentalement
à travers sa conservation dans les changements de forme et les
fractionnements. Elle se constitue en tant qu'invariant opératoire
autour duquel va se structurer toute la logique de la connaissance
de la matière : la quantité de matière - qu'on peut légitimement
appeler la masse - est, cognitivement, ce qui ne change pas dès
lors qu'on n'a rien ôté ni rien ajouté. Pour le poids, la propriété
correspondante est moins évidente et d'apparition plus tardive.
Mais il n'en résulte pas, à notre avis, une hiérarchie cognitive du même ordre entre masse-quantité et poidsquantité. Le
poids comme quantité plus ou moins grande est une notion très
précoce et prégnante parce qu'il se constitue à travers toute
l'expérience de la vie quotidienne, les sensations kinesthésiques
d'effors organisées par des actions et des équilibrations de ces
actions. Par contre, la masse, non plus comme invariant mais
comme quantité plus ou moins grande et plus précisément comme
quantité mesurable, est impossible à atteindre directement. Il
faut procéder indirectement par l'intermédiaire du poids et définir
la masse à travers la comparaison de poids. II y a alors une
rupture de cohérence logique lorsqu'on fait apparaître le poids
comme une quantité dérivée, produit de deux facteurs dont i'un
est justement la masse dont la définition même (en tant que
grandeur mesurable) requiert la notion de poids. Cela s'apparente, au jugement de l'enfant - et pour peu qu'il ait atteint un
niveau de compréhension qui lui permette de se poser ce genre
de question - à un cerole vicieux.
Ajoutons que, de quelque façon qu'on s'y prenne pour introduire une définition précise de la masse, on est amené nécessairement à sous-entendre - ou même à expliquer - des relations
du type p/p' = m/m' ou p / m = p'/m', relations qui, du seul
point de vue mathématique (et bien que les suites proportionnelles » soient désormais au programme de mathématique en
sixième), sont mal comprises et mal maniées pratiquement, encore
au niveau de la quatrième comme nous avons pu nous en
convaincre à de nombreuses reprises.

HALBWACHS.